La situation sanitaire devient critique dans 11 localités du département de Bakel, où les habitants vivent depuis plusieurs jours les pieds dans une eau saumâtre et souillée. Selon un article publié dans L’Observateur, ces eaux stagnantes, envahissant les rues et les maisons, sont remplies de déchets en décomposition et de têtards, exacerbant les risques d’épidémies, notamment le paludisme et les maladies diarrhéiques.
Thioula Niongané, un notable du village de Ballou, est alarmé par la situation : « Si ça continue, le pire va se produire avec l’apparition de maladies. » L’eau a envahi les maisons, rendant les conditions de vie des habitants insoutenables. La prolifération des moustiques et des mouches, accentuée par l’insalubrité ambiante, fait craindre une flambée des maladies hydriques et vectorielles.
Un membre du personnel de santé local, souhaitant garder l’anonymat, a confirmé à L’Observateur que la situation est déjà grave : « Les conditions sanitaires sont déplorables, et le risque de paludisme et de maladies diarrhéiques est accru, surtout que les déplacés n’ont même pas de moustiquaires pour se protéger. » De plus, le poste de santé, également inondé, est devenu inaccessible, compliquant encore davantage la prise en charge des malades.
Outre la crise sanitaire, les infrastructures locales, notamment les écoles, sont saturées par les sinistrés, et certains déplacés dorment à la belle étoile. Beaucoup ont même quitté leur village pour se réfugier chez des proches à Bakel ou Kidira, utilisant des pirogues pour fuir les eaux.
Face à cette situation d’urgence, les autorités locales et les organisations humanitaires sont appelées à intervenir rapidement pour éviter une catastrophe sanitaire majeure dans cette zone déjà vulnérable.
Thioula Niongané, un notable du village de Ballou, est alarmé par la situation : « Si ça continue, le pire va se produire avec l’apparition de maladies. » L’eau a envahi les maisons, rendant les conditions de vie des habitants insoutenables. La prolifération des moustiques et des mouches, accentuée par l’insalubrité ambiante, fait craindre une flambée des maladies hydriques et vectorielles.
Un membre du personnel de santé local, souhaitant garder l’anonymat, a confirmé à L’Observateur que la situation est déjà grave : « Les conditions sanitaires sont déplorables, et le risque de paludisme et de maladies diarrhéiques est accru, surtout que les déplacés n’ont même pas de moustiquaires pour se protéger. » De plus, le poste de santé, également inondé, est devenu inaccessible, compliquant encore davantage la prise en charge des malades.
Outre la crise sanitaire, les infrastructures locales, notamment les écoles, sont saturées par les sinistrés, et certains déplacés dorment à la belle étoile. Beaucoup ont même quitté leur village pour se réfugier chez des proches à Bakel ou Kidira, utilisant des pirogues pour fuir les eaux.
Face à cette situation d’urgence, les autorités locales et les organisations humanitaires sont appelées à intervenir rapidement pour éviter une catastrophe sanitaire majeure dans cette zone déjà vulnérable.
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