Le cyclone Chido a provoqué la mort d'au moins 73 personnes au Mozambique, selon un bilan actualisé diffusé jeudi par l'Institut national de gestion des risques et désastres de ce pays d'Afrique australe.
Le décompte au Mozambique des victimes du cyclone, qui a frappé dimanche le continent africain après avoir dévasté l'archipel français de Mayotte dans l'océan Indien, a grimpé d'une trentaine de morts en une journée.
En plus de provoquer près de 550 blessés, la dépression a complètement détruit presque 40.000 habitations de ce pays parmi les plus pauvres de la planète, d'après ce nouveau bilan.
Près de 330.000 personnes sont affectées par cette catastrophe naturelle dans l'Etat lusophone, principalement dans la province de Cabo Delgado, dans le nord, où l'on dénombre 66 des personnes tuées.
La dépression, bien qu'ayant perdu en intensité en s'enfonçant dans les terres, a poursuivi lundi sa course 500 kilomètres plus loin jusqu'au Malawi, où les autorités y avaient enregistré mercredi 13 décès en lien avec la tempête.
Si les chiffres provisoires demeurent inférieurs aux "centaines" de morts craints par Paris à Mayotte, l'Unicef craint la "propagation par l'eau de maladies comme le choléra, la malaria, la diarrhée" qui sont "particulièrement dangereuses pour les enfants", a indiqué à l'AFP Guy Taylor, responsable de l'agence onusienne au Mozambique.
Le décompte au Mozambique des victimes du cyclone, qui a frappé dimanche le continent africain après avoir dévasté l'archipel français de Mayotte dans l'océan Indien, a grimpé d'une trentaine de morts en une journée.
En plus de provoquer près de 550 blessés, la dépression a complètement détruit presque 40.000 habitations de ce pays parmi les plus pauvres de la planète, d'après ce nouveau bilan.
Près de 330.000 personnes sont affectées par cette catastrophe naturelle dans l'Etat lusophone, principalement dans la province de Cabo Delgado, dans le nord, où l'on dénombre 66 des personnes tuées.
La dépression, bien qu'ayant perdu en intensité en s'enfonçant dans les terres, a poursuivi lundi sa course 500 kilomètres plus loin jusqu'au Malawi, où les autorités y avaient enregistré mercredi 13 décès en lien avec la tempête.
Si les chiffres provisoires demeurent inférieurs aux "centaines" de morts craints par Paris à Mayotte, l'Unicef craint la "propagation par l'eau de maladies comme le choléra, la malaria, la diarrhée" qui sont "particulièrement dangereuses pour les enfants", a indiqué à l'AFP Guy Taylor, responsable de l'agence onusienne au Mozambique.
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