Robert Stackowitz aura passé près de la moitié de sa vie en cavale. Evadé en 1968 et en fuite depuis, il a été retrouvé dans sa maison du Connecticut après un impair administratif. En mauvaise santé, le fugitif souhaite aujourd'hui que sa peine soit commuée.
Pendant plus de 48 ans, Robert Stackowitz a vécu dans l'ombre. Cet Américain a fui sa prison en 1968, où il purgeait une peine pour son implication dans un vol à main armée. Depuis, les autorités n'étaient jamais parvenues à lui remettre la main dessus.
Mais le fugitif a récemment commis une erreur lors d'une demande pour des prestations sociales: il a fourni des papiers enregistrés sous son vrai nom. Les autorités ont alors fait le rapprochement.
"Vous savez ce que vous faites mais au bout de 50 ans, on n’y pense plus constamment", confie le fugitif.
A l'insu de sa compagne
Jusqu'à présent, Robert Stackowitz n'avait commis aucun faux pas et réussi à duper ses plus proches. Même sa compagne ignorait tout de son passé.
"J'ai dit: quoi? vous êtes sûr? vous ne vous trompez pas de personne? Je n’ai jamais entendu parler de ça", témoigne Cindy Derby.
L'évadé a été retrouvé à Sherman, dans une petite ville du Connecticut, à des centaines de miles de sa prison.
"A l'époque, il y avait moins de contrôles"
Son évasion, Robert Stackowitz ne l'avait pas vraiment planifiée. Un jour, lors d'un petit boulot en dehors de l'établissement pénitentiaire, il parvient à échapper à la vigilance des surveillants.
"Je suis parti, c'est aussi simple que ça. Quelqu’un m’a conduit à l’aéroport d’Atlanta et j’ai pris un avion. Vous savez, à l’époque, il y avait beaucoup moins de contrôles", raconte le fugitif.
Durant sa cavale, Robert Stackowitz va alors se faire très discret, travailler pour des garages, dans un café ou faire de la réparation de bateaux à son domicile.
Agé de 71 ans, atteint d'un cancer, de diabète et d'une maladie cardiaque, il souhaite que sa peine soit aujourd'hui commuée. Même s’il affirme, par ailleurs, vouloir rembourser sa dette à la société. Le Comité des grâces et des libérations conditionnelles de Géorgie a de son côté indiqué qu'il ne se pencherait sur son sort qu'une fois son retour au sein de l'Etat.
Pendant plus de 48 ans, Robert Stackowitz a vécu dans l'ombre. Cet Américain a fui sa prison en 1968, où il purgeait une peine pour son implication dans un vol à main armée. Depuis, les autorités n'étaient jamais parvenues à lui remettre la main dessus.
Mais le fugitif a récemment commis une erreur lors d'une demande pour des prestations sociales: il a fourni des papiers enregistrés sous son vrai nom. Les autorités ont alors fait le rapprochement.
"Vous savez ce que vous faites mais au bout de 50 ans, on n’y pense plus constamment", confie le fugitif.
A l'insu de sa compagne
Jusqu'à présent, Robert Stackowitz n'avait commis aucun faux pas et réussi à duper ses plus proches. Même sa compagne ignorait tout de son passé.
"J'ai dit: quoi? vous êtes sûr? vous ne vous trompez pas de personne? Je n’ai jamais entendu parler de ça", témoigne Cindy Derby.
L'évadé a été retrouvé à Sherman, dans une petite ville du Connecticut, à des centaines de miles de sa prison.
"A l'époque, il y avait moins de contrôles"
Son évasion, Robert Stackowitz ne l'avait pas vraiment planifiée. Un jour, lors d'un petit boulot en dehors de l'établissement pénitentiaire, il parvient à échapper à la vigilance des surveillants.
"Je suis parti, c'est aussi simple que ça. Quelqu’un m’a conduit à l’aéroport d’Atlanta et j’ai pris un avion. Vous savez, à l’époque, il y avait beaucoup moins de contrôles", raconte le fugitif.
Durant sa cavale, Robert Stackowitz va alors se faire très discret, travailler pour des garages, dans un café ou faire de la réparation de bateaux à son domicile.
Agé de 71 ans, atteint d'un cancer, de diabète et d'une maladie cardiaque, il souhaite que sa peine soit aujourd'hui commuée. Même s’il affirme, par ailleurs, vouloir rembourser sa dette à la société. Le Comité des grâces et des libérations conditionnelles de Géorgie a de son côté indiqué qu'il ne se pencherait sur son sort qu'une fois son retour au sein de l'Etat.
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