Une affaire tragique secoue le quartier de Pikine Tally Boumack, où Kh. S., une jeune mère de 19 ans, a été accusée d’infanticide après avoir tué son nouveau-né âgé de quatre jours. Selon Les ECHOS , Ce dernier a été retrouvé mort par strangulation, un acte que la jeune femme aurait commis suite au rejet de la paternité par son entraîneur de karaté, P. M. S., qu’elle accuse d’être l’auteur de sa grossesse.
Lundi 7 octobre, la police de Pikine est alertée sur la mort suspecte du nourrisson dont le corps a été déposé à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff. Les policiers, en constatant les blessures visibles autour du cou du bébé, suspectent immédiatement un meurtre et lancent une enquête pour déterminer les circonstances de ce drame.
Lors de son interrogatoire, Kh. S. se défend avec véhémence, clamant son innocence et suggérant que sa mère aurait découvert les blessures lors du bain du bébé. Cependant, une autopsie révèle que le décès est dû à une strangulation mécanique, conduisant les enquêteurs à la placer en garde à vue pour infanticide.
Sous pression, Kh. S. finit par craquer et avoue avoir tué son enfant en utilisant un morceau de tissu. Elle explique avoir agi ainsi en raison du refus de P. M. S. de reconnaître la paternité de l’enfant. “Je l’ai étranglé à mort. J’ai agi ainsi parce qu’il m’a laissée tomber,” confesse-t-elle, évoquant le poids de la trahison.
Dans une tentative désespérée de dissimuler son acte, elle aurait simulé une crise en appelant sa mère à l’aide, mais les doutes des enquêteurs persistent. Après avoir déposé le corps à la morgue, Kh. S. confirme les circonstances de son acte odieux.
Interrogé à son tour, l’entraîneur P. M. S. dément avoir eu une relation avec Kh. S. et rejette toute responsabilité quant à la grossesse. Au terme de son interrogatoire, la jeune femme a été présentée devant le parquet du tribunal de grande instance de Pikine, où elle est poursuivie pour infanticide par strangulation.
Lundi 7 octobre, la police de Pikine est alertée sur la mort suspecte du nourrisson dont le corps a été déposé à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff. Les policiers, en constatant les blessures visibles autour du cou du bébé, suspectent immédiatement un meurtre et lancent une enquête pour déterminer les circonstances de ce drame.
Lors de son interrogatoire, Kh. S. se défend avec véhémence, clamant son innocence et suggérant que sa mère aurait découvert les blessures lors du bain du bébé. Cependant, une autopsie révèle que le décès est dû à une strangulation mécanique, conduisant les enquêteurs à la placer en garde à vue pour infanticide.
Sous pression, Kh. S. finit par craquer et avoue avoir tué son enfant en utilisant un morceau de tissu. Elle explique avoir agi ainsi en raison du refus de P. M. S. de reconnaître la paternité de l’enfant. “Je l’ai étranglé à mort. J’ai agi ainsi parce qu’il m’a laissée tomber,” confesse-t-elle, évoquant le poids de la trahison.
Dans une tentative désespérée de dissimuler son acte, elle aurait simulé une crise en appelant sa mère à l’aide, mais les doutes des enquêteurs persistent. Après avoir déposé le corps à la morgue, Kh. S. confirme les circonstances de son acte odieux.
Interrogé à son tour, l’entraîneur P. M. S. dément avoir eu une relation avec Kh. S. et rejette toute responsabilité quant à la grossesse. Au terme de son interrogatoire, la jeune femme a été présentée devant le parquet du tribunal de grande instance de Pikine, où elle est poursuivie pour infanticide par strangulation.
Cette affaire tragique soulève des questions sur les défis auxquels sont confrontées les jeunes mères et met en lumière les conséquences dramatiques du rejet et de l’abandon.La communauté de Pikine Tally Boumack attend maintenant que justice soit faite dans cette affaire troublante.
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