Répondant à la question d'un membre de la NBA Academy à l'occasion d'un forum dans le cadre de la Foire Internationale de Kaolack, l'initiateur du projet " Give 1 Project", Thione Niang, a invité les jeunes du Sénégal notamment ceux de la région de Kaolack à défendre les couleurs de l'Afrique.
« A partir d'aujourd'hui, vous faites partie des ambassadeurs du continent africain et de notre pays et ça commence par nous le développement. Nous devons lever le voile et surtout consommer nos propres produits comme le bissap et tourner le dos à certaines boissons importées. Dans les autres pays comme les Etats-Unis, la Chine, l’Indonésie entre autres, les populations consomment leurs produits et nous au Sénégal, quand nous avons des invités occidentaux, ont leur donne des salades et des fourchettes. Chez moi, les toubabs, je leur sers du couscous, de la bouillie et du bissap. Et pourtant, les 30 toubabs qui étaient venus dernièrement à la maison, étaient très contents. D'ailleurs, ils criaient et envoyaient des photos à leurs familles », a confié Mr Niang.
Avant de poursuivre : « Nous devons tous vendre notre culture car avant de parler de développement, chacun d'entre nous doit porter l'essor de notre continent. Arrêtons de blâmer les autres, le président, le maire et posons nous la question, qu'est-ce que nous faisons chacun dans son coin pour changer notre vie personnelle, la maison et la localité, d'abord! »
Dans son intervention, le président Serigne Mboup a mis l'accent sur la valorisation de nos langues locales. « Nous sommes limités à cause des langues étrangères. Déjà, quand un sénégalais vient d'un autre pays, il change complètement de culture. Je vous donne un exemple très simple, quand nous parlons dans notre sommeil, nous nous exprimons tous en wolof. Alors, nous devons privilégier notre langue qu'est le Ouolof », a conclu le président de la Chambre de commerce de Kaolack...
« A partir d'aujourd'hui, vous faites partie des ambassadeurs du continent africain et de notre pays et ça commence par nous le développement. Nous devons lever le voile et surtout consommer nos propres produits comme le bissap et tourner le dos à certaines boissons importées. Dans les autres pays comme les Etats-Unis, la Chine, l’Indonésie entre autres, les populations consomment leurs produits et nous au Sénégal, quand nous avons des invités occidentaux, ont leur donne des salades et des fourchettes. Chez moi, les toubabs, je leur sers du couscous, de la bouillie et du bissap. Et pourtant, les 30 toubabs qui étaient venus dernièrement à la maison, étaient très contents. D'ailleurs, ils criaient et envoyaient des photos à leurs familles », a confié Mr Niang.
Avant de poursuivre : « Nous devons tous vendre notre culture car avant de parler de développement, chacun d'entre nous doit porter l'essor de notre continent. Arrêtons de blâmer les autres, le président, le maire et posons nous la question, qu'est-ce que nous faisons chacun dans son coin pour changer notre vie personnelle, la maison et la localité, d'abord! »
Dans son intervention, le président Serigne Mboup a mis l'accent sur la valorisation de nos langues locales. « Nous sommes limités à cause des langues étrangères. Déjà, quand un sénégalais vient d'un autre pays, il change complètement de culture. Je vous donne un exemple très simple, quand nous parlons dans notre sommeil, nous nous exprimons tous en wolof. Alors, nous devons privilégier notre langue qu'est le Ouolof », a conclu le président de la Chambre de commerce de Kaolack...
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