La tranquillité légendaire de la cité Khalifa Ababacar Sy, nichée à Keur Ndiaye Lo, a volé en éclats le dimanche 13 avril. Un crime glaçant, aux contours encore flous, est venu bouleverser le quotidien de ce quartier habituellement paisible. Kindy Ba, une femme de ménage âgée de 36 ans, a été retrouvée sauvagement assassinée dans la maison de ses employeurs. Depuis, la stupeur et la peur se sont installées.
Selon les informations rapportées par L’Observateur, c’est la mère de la victime elle-même qui a fait la macabre découverte en début de soirée. Ne la voyant pas rentrer comme à son habitude, elle s’est rendue au domicile de sa fille où l’attendait une scène d’horreur : Kindy Ba gisait dans une mare de sang, poignardée à plusieurs reprises, notamment au cou. Une violence inouïe, gratuite, que même les gendarmes de la brigade de Sangalkam, habitués à l’horreur, ont qualifiée de « ciblée et acharnée ».
Kindy Ba, originaire de Pita en Guinée, vivait au Sénégal depuis plusieurs années. Veuve, mère de deux enfants, elle partageait un modeste toit avec sa mère, qu’elle soutenait financièrement grâce à son emploi de femme de ménage, qu’elle occupait depuis seulement trois mois. Dimanche matin, fidèle à sa ponctualité, elle s’était présentée chez ses employeurs qui devaient s’absenter toute la journée. Personne ne se doutait que ce serait la dernière fois qu’on la verrait en vie.
L’enquête, confiée à la gendarmerie de Sangalkam, s’oriente aujourd’hui vers un mobile bien plus sombre que celui d’un simple vol. L’Observateur précise que rien n’a été emporté dans la maison, écartant d’emblée cette hypothèse. En revanche, les indices sur place — désordre ambiant, traces de lutte, plaies multiples — laissent penser à une tentative de viol ayant mal tourné.
Les deux employeurs de Kindy Ba ont été entendus dès les premières heures de l’enquête, ainsi que plusieurs autres personnes. L’autopsie, pratiquée à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand Yoff, devrait apporter des éclaircissements sur les circonstances exactes du décès.
Selon les informations rapportées par L’Observateur, c’est la mère de la victime elle-même qui a fait la macabre découverte en début de soirée. Ne la voyant pas rentrer comme à son habitude, elle s’est rendue au domicile de sa fille où l’attendait une scène d’horreur : Kindy Ba gisait dans une mare de sang, poignardée à plusieurs reprises, notamment au cou. Une violence inouïe, gratuite, que même les gendarmes de la brigade de Sangalkam, habitués à l’horreur, ont qualifiée de « ciblée et acharnée ».
Kindy Ba, originaire de Pita en Guinée, vivait au Sénégal depuis plusieurs années. Veuve, mère de deux enfants, elle partageait un modeste toit avec sa mère, qu’elle soutenait financièrement grâce à son emploi de femme de ménage, qu’elle occupait depuis seulement trois mois. Dimanche matin, fidèle à sa ponctualité, elle s’était présentée chez ses employeurs qui devaient s’absenter toute la journée. Personne ne se doutait que ce serait la dernière fois qu’on la verrait en vie.
L’enquête, confiée à la gendarmerie de Sangalkam, s’oriente aujourd’hui vers un mobile bien plus sombre que celui d’un simple vol. L’Observateur précise que rien n’a été emporté dans la maison, écartant d’emblée cette hypothèse. En revanche, les indices sur place — désordre ambiant, traces de lutte, plaies multiples — laissent penser à une tentative de viol ayant mal tourné.
Les deux employeurs de Kindy Ba ont été entendus dès les premières heures de l’enquête, ainsi que plusieurs autres personnes. L’autopsie, pratiquée à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand Yoff, devrait apporter des éclaircissements sur les circonstances exactes du décès.
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