À Touba, les conducteurs de forages sont payés à hauteur de 25 000 francs cfa par mois. C'est l‘un d'entre eux qui a soufflé l'information à l'oreille de Dakaractu-Touba. Ainsi, l'on en sait un peu plus sur les raisons qui font que les forages de Touba ne sont pas bien protégés et sont très souvent vidés de beaucoup de leurs accessoires. En effet, il n’y a pas de personnes préposées à veiller 24 h/24 sur l'infrastructure. Au quartier Sham, le forage a récemment délesté de 32 mètres de câble.
Au niveau du forage de Ndiouga Kébé, le scénario est écrit par un voleur professionnel ou un professionnel en matière hydraulique, puisque c'est tout le câble qui a été arraché. Un spécialiste nous confie que pour ce faire, le délinquant a d'abord isolé l'électricité (ce qui nécessite une certaine expertise) avant d'emporter le câble.
D'ailleurs, c'est ce qui aura empêché à l'association Touba Ça Kanam de monter les pompes achetées au moment voulu, alors que les populations souffraient d'un terrible manque d'eau.
La réflexion va plus loin. En effet, l'on se pose même la question de savoir si l'eau est suffisamment sécurisée. Un malfrat pourrait se faire plaisir en versant des produits nuisibles à la santé des populations dans le château d'eau. Les modiques salaires des conducteurs peuvent être considérés comme étant la principale cause.
L'autre énigme c'est le sort qui est réservé aux pompes tombées en panne. En effet, notre spécialiste nous signale que les pompes sont généralement confrontées à des problèmes d'ordre électrique. "C'est la partie électrique qui tombe souvent en panne. Et il suffit de l'embobiner à nouveau." Pour le cas spécifique de Touba, l'on se pose des questions comment des forages (5 au total), peuvent-ils arrêter de foncrionner depuis le lendemain du Gamou 2019 sans être réparés.
Et quand le ministre Serigne Mbaye Thiam dit sur un plateau de télévision que Touba devra attendre la fin de la fermeture des frontières pour que lui soit trouvé des pompes et qu'en contrepartie Touba Ça Kanam se paie le luxe d'en acheter trois le lendemain, il y a de quoi se poser des questions...
Au niveau du forage de Ndiouga Kébé, le scénario est écrit par un voleur professionnel ou un professionnel en matière hydraulique, puisque c'est tout le câble qui a été arraché. Un spécialiste nous confie que pour ce faire, le délinquant a d'abord isolé l'électricité (ce qui nécessite une certaine expertise) avant d'emporter le câble.
D'ailleurs, c'est ce qui aura empêché à l'association Touba Ça Kanam de monter les pompes achetées au moment voulu, alors que les populations souffraient d'un terrible manque d'eau.
La réflexion va plus loin. En effet, l'on se pose même la question de savoir si l'eau est suffisamment sécurisée. Un malfrat pourrait se faire plaisir en versant des produits nuisibles à la santé des populations dans le château d'eau. Les modiques salaires des conducteurs peuvent être considérés comme étant la principale cause.
L'autre énigme c'est le sort qui est réservé aux pompes tombées en panne. En effet, notre spécialiste nous signale que les pompes sont généralement confrontées à des problèmes d'ordre électrique. "C'est la partie électrique qui tombe souvent en panne. Et il suffit de l'embobiner à nouveau." Pour le cas spécifique de Touba, l'on se pose des questions comment des forages (5 au total), peuvent-ils arrêter de foncrionner depuis le lendemain du Gamou 2019 sans être réparés.
Et quand le ministre Serigne Mbaye Thiam dit sur un plateau de télévision que Touba devra attendre la fin de la fermeture des frontières pour que lui soit trouvé des pompes et qu'en contrepartie Touba Ça Kanam se paie le luxe d'en acheter trois le lendemain, il y a de quoi se poser des questions...
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