Les ex travailleurs de Sénégal Airlines peuvent-ils avoir le sourire? On peut répondre par l’affirmative si l’on se fie aux réponses du Ministre du Tourisme et des Transports Aériens Maïmouna N'doye Seck, en conférence de presse ce matin.
Dans le cadre de la nouvelle compagnie qui va être mise en place, le ministre a indiqué que l’Etat n’allait sûrement pas recruter des étrangers pour faire le travail.
« Sur le sort des travailleurs, j'ai eu à leur rappeler qu’une compagnie avant qu’elle n'existe en tant que tel, est d'abord une société au plan juridique du terme, créée selon le règles de l’OHADA. ensuite l’Etat et l’autorité de l’aviation lui donnent d’autres pouvoirs pour qu'elle puisse transporter des passagers. Ce qui se passe aujourd'hui, c’est que le sort de la société relève de la responsabilité de ses actionnaires dont l’Etat bien entendu à hauteur de 34%. Dans ce cas précis, il leur appartiendra lors des conseils d’administration, d'en tirer les conséquences et le sort de ces travailleurs en tant qu'agents de SA sera décidé. Et nous allons les accompagner dans les discussions pour que leurs intérêts soient préservés au maximum.
Dans le cadre de la nouvelle société on ne va pas aller chercher des Tanzaniens pour travailler dans la nouvelle société, ce sont des sénégalais qui ont leurs compétences qui vont être recrutés dans les limites des besoins de la nouvelle compagnie pour mettre en œuvre cette compagnie. Nous ferons tout pour que ces travailleurs soient intégrés dans le cadre de cette nouvelle compagnie », indiquera-t-elle.
Dans le cadre de la nouvelle compagnie qui va être mise en place, le ministre a indiqué que l’Etat n’allait sûrement pas recruter des étrangers pour faire le travail.
« Sur le sort des travailleurs, j'ai eu à leur rappeler qu’une compagnie avant qu’elle n'existe en tant que tel, est d'abord une société au plan juridique du terme, créée selon le règles de l’OHADA. ensuite l’Etat et l’autorité de l’aviation lui donnent d’autres pouvoirs pour qu'elle puisse transporter des passagers. Ce qui se passe aujourd'hui, c’est que le sort de la société relève de la responsabilité de ses actionnaires dont l’Etat bien entendu à hauteur de 34%. Dans ce cas précis, il leur appartiendra lors des conseils d’administration, d'en tirer les conséquences et le sort de ces travailleurs en tant qu'agents de SA sera décidé. Et nous allons les accompagner dans les discussions pour que leurs intérêts soient préservés au maximum.
Dans le cadre de la nouvelle société on ne va pas aller chercher des Tanzaniens pour travailler dans la nouvelle société, ce sont des sénégalais qui ont leurs compétences qui vont être recrutés dans les limites des besoins de la nouvelle compagnie pour mettre en œuvre cette compagnie. Nous ferons tout pour que ces travailleurs soient intégrés dans le cadre de cette nouvelle compagnie », indiquera-t-elle.
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