À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le Cap a tenu un sit-in devant le ministère de la Communication. Ce, pour dénoncer les menaces et les agressions sur les journalistes ainsi que sur certains organes de presse lors des manifestations du mois de mars dernier.
À cet effet, le président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel) est également revenu sur les mauvaises conditions de travail des journalistes. « Nous voulons que les journalistes travaillent en paix et en toute liberté. Nous avons constaté qu’actuellement le traitement de l’information est devenu un délit. Ce qui n’est pas normal. Dernièrement, Dakaractu et tout son personnel avaient reçu des menaces, parce qu’il avait sorti un communiqué sur une décision de justice. En ce mois de mars, beaucoup d’organes de presse ont été attaqués et brûlés », martèle-t-il.
Selon lui, la presse exprime son ras-le-bol en ce jour de sit-in. « Nous ne pouvons plus supporter cette situation. Et le Sénégal est un État de droit et il doit tout faire pour assurer la sécurité des journalistes », a-t-il soutenu.
Face à cette situation, Ibrahima Lissa Faye invite l’État du Sénégal à faire appliquer les textes garantissant la sécurité des journalistes avec les nouveaux organes de régulation, le code de la publicité et la loi sur le service public de l’information...
À cet effet, le président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel) est également revenu sur les mauvaises conditions de travail des journalistes. « Nous voulons que les journalistes travaillent en paix et en toute liberté. Nous avons constaté qu’actuellement le traitement de l’information est devenu un délit. Ce qui n’est pas normal. Dernièrement, Dakaractu et tout son personnel avaient reçu des menaces, parce qu’il avait sorti un communiqué sur une décision de justice. En ce mois de mars, beaucoup d’organes de presse ont été attaqués et brûlés », martèle-t-il.
Selon lui, la presse exprime son ras-le-bol en ce jour de sit-in. « Nous ne pouvons plus supporter cette situation. Et le Sénégal est un État de droit et il doit tout faire pour assurer la sécurité des journalistes », a-t-il soutenu.
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