Membre de la coalition Yewwi Askan Wi et du parti Pastef, le député Ayib Daffé ne semble pas convaincu des conclusions du Conseil présidentiel que Macky Sall a présidé ce matin. Même s'il est de l’opposition, en républicain, le député de Yewwi qui a assisté à cette rencontre entre responsables politiques locaux et le président Macky Sall a déroulé sa liste des insuffisances du conseil.
D’abord, c’est un retard de la tenue du conseil que le parlementaire a décrié. En effet, depuis celui de 2015, le député considère que Macky Sall devait tenir au moins les trois années suivantes, une rencontre durant laquelle une évaluation du précédent conseil serait faite. Ayib Daffé ne s’est seulement limité à cette remarque. La tenue de ce conseil après le vote du budget à l’assemblée nationale ne permettra pas de prendre en compte les considérations et nouvelles orientations pour le développement de Sédhiou. Ainsi, des rééquilibrages budgétaires pourraient être envisagés avec ces éléments nouveaux entérinés.
Le député regrette que certains projets ne puissent encore voir le jour. Il s’agit notamment du pont sur le fleuve Casamance (Sandiniéry - Sédhiou). Le retard dans la mise en œuvre des projets demeure également une inquiétude chez le député du camp de Pastef. L’exemple du stade municipal de Sédhiou est patent. En effet, la construction de cette infrastructure sportive est enclenchée depuis des années, mais tarde à être livrée. Il faudra noter au passage que le président Macky Sall, même durant ce conseil présidentiel, a instruit le ministre des sports de travailler pour doter le stade d’une pelouse synthétique et d’apporter l’éclairage nécessaire au bénéfice des populations locales.
Le député Ayib Daffé estime en définitive, que ces 400 milliards destinés à Sédhiou ne sont pas suffisants pour mettre cette région sur les rampes de l’émergence. Malgré toutes ces remarques, le député a salué les efforts déjà consentis dans la région du Pakao, notamment en terme de désenclavement avec la matérialisation de la première demande des populations qui est le pont de Marsassoum qui porte le nom de l’illustre homme d’État, Famara Ibrahima Sagna. Il salue le développement du commerce entre ces deux rives que le pont relie au grand bonheur des populations...
D’abord, c’est un retard de la tenue du conseil que le parlementaire a décrié. En effet, depuis celui de 2015, le député considère que Macky Sall devait tenir au moins les trois années suivantes, une rencontre durant laquelle une évaluation du précédent conseil serait faite. Ayib Daffé ne s’est seulement limité à cette remarque. La tenue de ce conseil après le vote du budget à l’assemblée nationale ne permettra pas de prendre en compte les considérations et nouvelles orientations pour le développement de Sédhiou. Ainsi, des rééquilibrages budgétaires pourraient être envisagés avec ces éléments nouveaux entérinés.
Le député regrette que certains projets ne puissent encore voir le jour. Il s’agit notamment du pont sur le fleuve Casamance (Sandiniéry - Sédhiou). Le retard dans la mise en œuvre des projets demeure également une inquiétude chez le député du camp de Pastef. L’exemple du stade municipal de Sédhiou est patent. En effet, la construction de cette infrastructure sportive est enclenchée depuis des années, mais tarde à être livrée. Il faudra noter au passage que le président Macky Sall, même durant ce conseil présidentiel, a instruit le ministre des sports de travailler pour doter le stade d’une pelouse synthétique et d’apporter l’éclairage nécessaire au bénéfice des populations locales.
Le député Ayib Daffé estime en définitive, que ces 400 milliards destinés à Sédhiou ne sont pas suffisants pour mettre cette région sur les rampes de l’émergence. Malgré toutes ces remarques, le député a salué les efforts déjà consentis dans la région du Pakao, notamment en terme de désenclavement avec la matérialisation de la première demande des populations qui est le pont de Marsassoum qui porte le nom de l’illustre homme d’État, Famara Ibrahima Sagna. Il salue le développement du commerce entre ces deux rives que le pont relie au grand bonheur des populations...
Autres articles
-
Étudiants de Bambilor : entre précarité et abandon, l’urgence d’un logement décent
-
Kaolack : Mor Ndao finance 30 groupements de femmes et plaide pour que son projet d'installation d'une Zone économique spéciale (Zes) voit le jour
-
Golf Sud : quand la science " croise" l'avenir des enfants – Les acteurs s’engagent pour éveiller la famille
-
Nomination d’Aoua Bocar Ly-Tall : Sonko réagit, les patriotes s'indignent et restent intransigeants
-
Arobase éclate Diop Taif et dénonce une guerre de clans sur la répartition des 108 millions…