La Direction générale de la santé de la mère et de l’enfant (DSME), en collaboration avec le Cadre des religieux pour la santé et le développement (CRSD), a tenu un atelier de partage sur les plans de communication pour la promotion et le bien-être des Adolescents, ce jeudi 29 août 2019 à Dakar.
Cette rencontre vise à renforcer le plaidoyer envers les religieux pour la promotion de la santé de la reproduction des adolescents et des jeunes (SRAJ), de la planification familiale, mais également aussi à la mobilisation des religieux sur la problématique de la SRAJ.
Selon le Dr Marième Dia Ndiaye, Chef de la division planification familiale au niveau de la DSME, « la planification familiale est une stratégie préventive qui va nous amener à réduire le taux de mortalité maternelle néonatale ». Elle poursuit en ces termes : « le Sénégal est passé de Trois cent quatre-vingt-douze (392) pour Cent mille (100.000) naissances en 2010 à Deux cent trente-six (236) pour Cent mille (100.000) naissances en 2017, cela a pratiquement chuté de moitié à cause de l’engagement des religieux et de nos autres partenaires ».
À sa prise de parole, l’Imam Cheikh Saliou Mbacké, président de la CRSD, a souligné que l’Islam et l’Eglise permettent l’espacement des naissances car la vie humaine est sacrée pour toutes les religions et lorsque des vies humaines sont en jeu, la religion doit être interpellée.
À ce titre, ce dernier atteste que les chefs religieux sont les gardiens de nombreuses questions sociales et culturelles. Leurs rôles ne se limitent pas seulement à appeler à la prière, au jeûne, à l'aumône, au pèlerinage et à d'autres commandements religieux et réglementations juridiques, mais s'étendent également à la création d’un environnement qui favorise l’invitation à la participation aux divers domaines de la vie d'ordre médical, social, culturel et religieux.
Cette rencontre vise à renforcer le plaidoyer envers les religieux pour la promotion de la santé de la reproduction des adolescents et des jeunes (SRAJ), de la planification familiale, mais également aussi à la mobilisation des religieux sur la problématique de la SRAJ.
Selon le Dr Marième Dia Ndiaye, Chef de la division planification familiale au niveau de la DSME, « la planification familiale est une stratégie préventive qui va nous amener à réduire le taux de mortalité maternelle néonatale ». Elle poursuit en ces termes : « le Sénégal est passé de Trois cent quatre-vingt-douze (392) pour Cent mille (100.000) naissances en 2010 à Deux cent trente-six (236) pour Cent mille (100.000) naissances en 2017, cela a pratiquement chuté de moitié à cause de l’engagement des religieux et de nos autres partenaires ».
À sa prise de parole, l’Imam Cheikh Saliou Mbacké, président de la CRSD, a souligné que l’Islam et l’Eglise permettent l’espacement des naissances car la vie humaine est sacrée pour toutes les religions et lorsque des vies humaines sont en jeu, la religion doit être interpellée.
À ce titre, ce dernier atteste que les chefs religieux sont les gardiens de nombreuses questions sociales et culturelles. Leurs rôles ne se limitent pas seulement à appeler à la prière, au jeûne, à l'aumône, au pèlerinage et à d'autres commandements religieux et réglementations juridiques, mais s'étendent également à la création d’un environnement qui favorise l’invitation à la participation aux divers domaines de la vie d'ordre médical, social, culturel et religieux.
Autres articles
-
Tavaux de la Commission technique du ministère de l'Hydraulique et de l'Assainissement : les interpellations du parlementaire Mbaye Dione
-
Zambie: deux hommes arrêtés pour "sorcellerie" visant le président
-
"Attentat" de Magdebourg: le suspect arrêté est d'origine saoudienne
-
Les Etats-Unis au bord de la paralysie budgétaire avant Noël
-
Tchad: la Cour suprême suspend des mesures restrictives contre la presse en ligne