Contrairement à ses co-accusés, Douda Dieng a comparu libre devant la Chambre criminelle à formation spéciale. L'accusé est imberbe, à la différence de l'Imam Ndao et Cie, des barbus pour la plupart. De par son accoutrement, il n'a pas non plus l'apparat d'un extrémiste.
Et pourtant il est jugé pour apologie du terrorisme suite à des "Like" (J'aime) sur un post de membres de Boko Haram, sur Facebook. Le jeune commerçant, originaire du Saloum, avait apposé des messages sous forme de commentaire sur le mur des membres de Al-Qaïda et Boko Haram "pour se réjouir des attaques terroristes", au nord du Nigeria. Aussi, le parquet lui reproche d'avoir "ajouté des amis de la mouvance islamiste", sur sa page Facebook.
Au fil de son intervention, certains ont vite fait de soutenir que le présumé complice de l'Imam Alioune, ne connaît rien des réseaux sociaux. "Dès que je voyais des écritures arabes ou des vidéos d'islamistes, je mettais un J'aime", indique l'accusé. D'ailleurs, le procureur a fait projeter sur écran géant des images postées sur la page d'un nommé Abou Hamza, où Daouda Dieng a aimé des photos de Jihadistes armés. "Pour ce qui concerne Abou Hamza, je n’ai pas fait attention. Je l’ai ajouté sans m'en rendre compte", a ajouté l'accusé, sans une autre explication. L’accusé a soutenu n'être pour rien dans le Jihadisme, répétant connaître Mactar Diokhané, à travers son jeune frère Cheikh Dieng, décédé au camp de Fatkhoul Moubine, au Nigéria.
"Les Jihadistes, je les ai vu sur Facebook, car j'étais tout le temps connecté. Mais, je n'ai jamais intégré une association de terroristes", conteste le "facebookeur". L'accusé a essayé de démontrer son innocence face à aux accusations d'association de malfaiteurs et d'actes de terrorisme par menace...
Et pourtant il est jugé pour apologie du terrorisme suite à des "Like" (J'aime) sur un post de membres de Boko Haram, sur Facebook. Le jeune commerçant, originaire du Saloum, avait apposé des messages sous forme de commentaire sur le mur des membres de Al-Qaïda et Boko Haram "pour se réjouir des attaques terroristes", au nord du Nigeria. Aussi, le parquet lui reproche d'avoir "ajouté des amis de la mouvance islamiste", sur sa page Facebook.
Au fil de son intervention, certains ont vite fait de soutenir que le présumé complice de l'Imam Alioune, ne connaît rien des réseaux sociaux. "Dès que je voyais des écritures arabes ou des vidéos d'islamistes, je mettais un J'aime", indique l'accusé. D'ailleurs, le procureur a fait projeter sur écran géant des images postées sur la page d'un nommé Abou Hamza, où Daouda Dieng a aimé des photos de Jihadistes armés. "Pour ce qui concerne Abou Hamza, je n’ai pas fait attention. Je l’ai ajouté sans m'en rendre compte", a ajouté l'accusé, sans une autre explication. L’accusé a soutenu n'être pour rien dans le Jihadisme, répétant connaître Mactar Diokhané, à travers son jeune frère Cheikh Dieng, décédé au camp de Fatkhoul Moubine, au Nigéria.
"Les Jihadistes, je les ai vu sur Facebook, car j'étais tout le temps connecté. Mais, je n'ai jamais intégré une association de terroristes", conteste le "facebookeur". L'accusé a essayé de démontrer son innocence face à aux accusations d'association de malfaiteurs et d'actes de terrorisme par menace...
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