Le bras de fer entre DP World et l’administration fiscale s’intensifie.
Le géant du transport maritime Dubaï Port World (DPW) traverse une zone de turbulence avec l’administration fiscale. Selon des sources bien informées du quotidien Libération, en septembre 2024, le Fisc a révélé que DpW avait effectué son paiement de l’impôt sur les revenus de valeurs mobilières (IRVM) pour l’année 2023 après le délai légal imparti. Une situation qui a provoqué l’ire des autorités fiscales, lesquelles ont exigé le paiement immédiat d’une somme colossale de 118.515.724 FCFA.
Mais cette demande n’a pas été accueillie sans résistance de la part de DPW. Le groupe, qui conteste vigoureusement le montant réclamé, a décidé de porter l’affaire devant les juridictions compétentes. Le tribunal a récemment examiné le dossier, intensifiant ainsi le bras de fer juridique entre le groupe Dubaïote et le Fisc.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte où les relations entre entreprises multinationales et administrations fiscales nationales sont souvent tendues, notamment en matière de respect des délais fiscaux. DPW, bien que conscient des enjeux financiers, n’a pas encore cédé, préférant jouer la carte de la contestation devant le tribunal. L’issue de cette bataille judiciaire pourrait avoir des répercussions sur la gestion future des obligations fiscales des entreprises opérant dans la région.
L’impact de cette affaire dépasse largement les simples sphères juridiques. Si le tribunal donne raison au Fisc, cela pourrait envoyer un signal fort aux multinationales opérant dans la région, renforçant l’autorité de l’administration fiscale. À l’inverse, une victoire de DpW pourrait ouvrir la voie à un débat sur la flexibilité des règles fiscales en fonction de la situation particulière de chaque entreprise.
Cette saga entre DPW et le Fisc continue de se jouer sous les yeux des observateurs économiques, les enjeux étant plus élevés que jamais. L’administration fiscale, quant à elle, demeure intransigeante, espérant récupérer les fonds réclamés tout en affirmant son autorité dans le respect des délais légaux.
Selon Libération, cette affaire est loin d’être résolue, et son dénouement pourrait bien redéfinir les rapports entre entreprises et fiscalité dans les mois à venir.
Le géant du transport maritime Dubaï Port World (DPW) traverse une zone de turbulence avec l’administration fiscale. Selon des sources bien informées du quotidien Libération, en septembre 2024, le Fisc a révélé que DpW avait effectué son paiement de l’impôt sur les revenus de valeurs mobilières (IRVM) pour l’année 2023 après le délai légal imparti. Une situation qui a provoqué l’ire des autorités fiscales, lesquelles ont exigé le paiement immédiat d’une somme colossale de 118.515.724 FCFA.
Mais cette demande n’a pas été accueillie sans résistance de la part de DPW. Le groupe, qui conteste vigoureusement le montant réclamé, a décidé de porter l’affaire devant les juridictions compétentes. Le tribunal a récemment examiné le dossier, intensifiant ainsi le bras de fer juridique entre le groupe Dubaïote et le Fisc.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte où les relations entre entreprises multinationales et administrations fiscales nationales sont souvent tendues, notamment en matière de respect des délais fiscaux. DPW, bien que conscient des enjeux financiers, n’a pas encore cédé, préférant jouer la carte de la contestation devant le tribunal. L’issue de cette bataille judiciaire pourrait avoir des répercussions sur la gestion future des obligations fiscales des entreprises opérant dans la région.
L’impact de cette affaire dépasse largement les simples sphères juridiques. Si le tribunal donne raison au Fisc, cela pourrait envoyer un signal fort aux multinationales opérant dans la région, renforçant l’autorité de l’administration fiscale. À l’inverse, une victoire de DpW pourrait ouvrir la voie à un débat sur la flexibilité des règles fiscales en fonction de la situation particulière de chaque entreprise.
Cette saga entre DPW et le Fisc continue de se jouer sous les yeux des observateurs économiques, les enjeux étant plus élevés que jamais. L’administration fiscale, quant à elle, demeure intransigeante, espérant récupérer les fonds réclamés tout en affirmant son autorité dans le respect des délais légaux.
Selon Libération, cette affaire est loin d’être résolue, et son dénouement pourrait bien redéfinir les rapports entre entreprises et fiscalité dans les mois à venir.
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