Présidentielle en Gambie : aucune Cour ne peut annuler la victoire de Barrow

La victoire du candidat Adama Barrow à l'élection présidentielle gambienne du 1er décembre est définitive et "aucune Cour sur terre" ne pourra l'annuler, a affirmé vendredi l'opposition gambienne, après le recours en annulation du président Yahya Jammeh.


"Le président élu Adama Barrow est sûr d'avoir gagné l'élection et qu'aucune Cour sur cette terre ne pourra prendre une décision contraire", a déclaré Halifa Sallah, porte-parole de la coalition de l'opposition, lors d'une conférence de presse vendredi à Banjul.

"C'est sa position. Il (Barrow) ne va pas se baser sur ce que la Cour va faire mais sur les résultats de l'élection. Nous n'allons pas spéculer sur ce que cette Cour va décider", a ajouté M. Sallah.

Il a appelé les Gambiens à se concentrer sur la préparation de l'investiture de M. Barrow le 19 janvier. Selon la Constitution, le mandat actuel de Yahya Jammeh expirera à cette date.

La Cour suprême en Gambie doit examiner le 10 janvier le recours du parti du président Yahya Jammeh, qui demande l'annulation de l'élection présidentielle du 1er décembre.

Le parti de M. Jammeh a déposé un recours le 13 décembre, dénonçant notamment des irrégularités dans le décompte des résultats par la Commission électorale indépendante (IEC) et des "intimidations" envers ses électeurs dans une région.

Après avoir reconnu sa défaite le 2 décembre - et même félicité Adama Barrow -, Yahya Jammeh, qui dirige la Gambie depuis 22 ans d'une main de fer, s'était ravisé une semaine plus tard, rejetant les résultats et réclamant un nouveau scrutin.

Il a réitéré ses déclarations mardi, assurant qu'il demeurerait au pouvoir tant que la Cour ne se serait pas prononcée, alors que plusieurs pays et institutions, dont la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao, 15 pays) et l'ONU, le pressent de céder le fauteuil à M. Barrow et de permettre une transition apaisée dans son pays.

Avec AFP
Dimanche 25 Décembre 2016




1.Posté par Alyoun Nikolas Huchard le 26/12/2016 19:29
Les Gambiens doivent s'impliquer au premier plan.
Non à une cour de justice erratique et selon l'humeur de ce prince morganatique
Ces Azdoulaye Mbaldé , et autre Momar Seyni Ndiaye n’ont aucune solution à proposer.

Ils nous babillent des inepties puériles . Nous sommes en géopolitique et pas dans une dynamique de commisération et « d’émotionalisme inhibant ».

Il ne faut écarter aucune solution alternative avec ce fou qui s’est installé au white house à la faveur d’un coup de force.
Il partira par la force et la pression est un moyen de manifestation de la force .
Les personnes qui ne sont ni militaire ni psychiatre et devront rester humbles et circonspects devant le cas de ce félon couillon soit-disant Babili Mansa.
Il n y a aura jamais aucune intervention contre le peuple frère de Gambie, lequel d’ailleurs sera impliqué dans tout processus. le ci-devant El hadji Profesor était quand même leur président.

Ce sont les seuls experts qui doivent d’abord orienter l’impériosité des décisions .

A l’endroit de personnage retors comme l’ avocat Diouf Al hajie, je répète: » Si la déraison de l’idiot de kanilay était accessible aux règles de droit, on en serait pas là »

Le Chef de l’Etat du Sénégal est bien le chef des Armées. Le rejeton de Fatu Assombi Bodian, capitaine de pacotille , n’a eu de cesse de l’invectiver défiant ainsi toutes les règles de bon voisinage . Un vrai babouin de jammeh

Comme disent nos soeurs et nos frères de GAMBIE :

» YAYA Jammeh ASSoMBI HAS TO PACK HIS MèRE GAddOU AND TO GO away "..


Vive le Sénégal , Vive L'AFrique



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