L’affaire est partie d'une banale querelle d'usage du robinet public d'une maison. Elle a opposé la prévenue Fanta Djiba et la famille de la défunte Ndioba Niang. En effet, le drame qui a occasionné le décès de cette dernière remonte à deux (2) semaines après une malheureuse bousculade entre les deux (2) voisines ayant entraîné une fracture à la hanche et à la cheville de Ndioba Niang qui a finalement succombé à ses blessures selon le procès-verbal.
Attraite devant la barre du tribunal des flagrants délits, F. Djiba a tenté de se justifier pour se tirer d'affaire suite aux accusations de coups mortels pour lesquelles elle est poursuivie.
« C'est suite à notre dispute sur l'utilisation du robinet que tout est parti entre nous. Je ne parlais plus avec Ndioba. Un jour, alors que je raccompagnais ma grande sœur qui était venue chez moi pour une visite de courtoisie, Ndioba nous a toutes deux bousculé, cela s'est passé juste devant le portail de la concession. Elle est sortie de la maison pour aller à la boutique en face de la demeure », a-t-elle soutenu en renseignant avoir rendu aussi la pareille en bousculant la défunte.
En effet, si cette affaire est considérée par le parquet comme un acte de coups et blessures ayant entraîné mort d'homme, pour la défense elle relève d'une négligence médicale, car selon la robe noire le fait pour lequel sa cliente est poursuivie n'a aucun lien avec la mort de la défunte Ndioba Niang.
« Il y'a eu certes poussette entre ma cliente et la défunte Ndioba, mais après elle a été prise en charge à l'hôpital où elle a d'abord subi une opération mais par la suite Ndioba devait subir une deuxième opération, mais elle est restée 24 jours sans être opérée », a indiqué l'avocat. Le conseil a demandé la relaxe pure et simple de sa cliente.
Malgré la plaidoirie de la défense, le maître des poursuites a requis 6 mois d'empoisonnement assorti de sursis contre l'accusée Fanta Djiba. Dans son verdict, le tribunal a suivi le réquisitoire du procureur en reconnaissant cette dernière comme coupable des faits qui lui sont reprochés. Le juge l'a condamnée à une peine de 6 mois d'emprisonnement assorti de sursis.
Attraite devant la barre du tribunal des flagrants délits, F. Djiba a tenté de se justifier pour se tirer d'affaire suite aux accusations de coups mortels pour lesquelles elle est poursuivie.
« C'est suite à notre dispute sur l'utilisation du robinet que tout est parti entre nous. Je ne parlais plus avec Ndioba. Un jour, alors que je raccompagnais ma grande sœur qui était venue chez moi pour une visite de courtoisie, Ndioba nous a toutes deux bousculé, cela s'est passé juste devant le portail de la concession. Elle est sortie de la maison pour aller à la boutique en face de la demeure », a-t-elle soutenu en renseignant avoir rendu aussi la pareille en bousculant la défunte.
« Alors que j'ai été emporté par ma colère je suis allé à mon tour la bousculer et c'est ce qui a occasionné sa blessure » a ajouté la prévenue.
En effet, si cette affaire est considérée par le parquet comme un acte de coups et blessures ayant entraîné mort d'homme, pour la défense elle relève d'une négligence médicale, car selon la robe noire le fait pour lequel sa cliente est poursuivie n'a aucun lien avec la mort de la défunte Ndioba Niang.
« Il y'a eu certes poussette entre ma cliente et la défunte Ndioba, mais après elle a été prise en charge à l'hôpital où elle a d'abord subi une opération mais par la suite Ndioba devait subir une deuxième opération, mais elle est restée 24 jours sans être opérée », a indiqué l'avocat. Le conseil a demandé la relaxe pure et simple de sa cliente.
Malgré la plaidoirie de la défense, le maître des poursuites a requis 6 mois d'empoisonnement assorti de sursis contre l'accusée Fanta Djiba.
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