Le Haut commissaire des Nations Unies aux droits de l'Homme, Michelle Bachelet, a déclaré ce mercredi 25 mars que le COVID-19 commence à frapper les centres de détention, les maisons de retraite et les hôpitaux psychiatriques.
Forte de ce constat, la fonctionnaire onusienne demande aux États d'examiner les moyens de libérer les personnes particulièrement vulnérables au COVID-19, notamment les détenus âgés et les malades, ainsi que les délinquants à faible risque. Une position partagée par Saër Kébé.
L'ancien détenu milite en faveur d'une grâce pour les
détenus condamnés à moins de 6 mois.
Très perplexe sur les décisions de l'administration pénitentiaire qui consistent à confiner les gardes à compter de ce mardi, Saër Kébé trouve que les prisons doivent être désengorgées, car « elles constituent une vraie bombe de coronavirus à retardement ».
Forte de ce constat, la fonctionnaire onusienne demande aux États d'examiner les moyens de libérer les personnes particulièrement vulnérables au COVID-19, notamment les détenus âgés et les malades, ainsi que les délinquants à faible risque. Une position partagée par Saër Kébé.
L'ancien détenu milite en faveur d'une grâce pour les
détenus condamnés à moins de 6 mois.
Très perplexe sur les décisions de l'administration pénitentiaire qui consistent à confiner les gardes à compter de ce mardi, Saër Kébé trouve que les prisons doivent être désengorgées, car « elles constituent une vraie bombe de coronavirus à retardement ».
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