La tension est très vive au niveau de la mosquée Mbayène de Pout où se disputent âprement le "minbar". La tension s'est exacerbée le dimanche dernier au cours de la prière du crépuscule, car certains fidèles étaient venus avec des gourdins. Il a fallu l'intervention de la gendarmerie pour éviter une bataille rangée. Les deux camps qui se regardent en chiens de faïence soutiennent respectivement Ibrahima Seck qui se dit imam légitime et Abdoulaye Ciss, fils du défunt imam, qui affirme de son côté, être élu de façon transparente.
Dans cette affaire, la gendarmerie de Pout a choisi la voix du dialogue et de la concertation. C'est ainsi que des imams ont été approchés pour jouer les bons offices pendant plus d'un mois pour rapprocher les deux camps et trouver un consensus pour la gestion de la mosquée. Mais chacun reste sur ses positions. Ainsi, l'affaire a atterri devant le préfet du département qui, selon Pape Wone qui parle au nom de l'imam Ibrahima Seck, a réuni toutes les deux parties, mais aucune solution n'est sortie de ce face à face.
Finalement le camp d'Abdoulaye Ciss a estimé qu'il était l'imam légitime et devait diriger les prières.
La tendance soutenant Ibrahima Seck, ne l'a pas entendu de cette oreille et la tension s'est exacerbée le dimanche. D'ailleurs, la gendarmerie avait préconisé comme solution alternative, que Ibrahima Seck et Abdoulaye Ciss ne dirigent pas les prières en attendant qu'une solution définitive soit trouvée. Mais les deux camps sont également restés sourds à cette proposition et toute la journée d'hier, les gendarmes étaient aux aguets, notamment devant la mosquée, qui du coup, a été fermée provisoirement par l'autorité administrative pour parer à toute éventualité. Puisqu'actuellement les deux camps campent toujours sur leurs positions, les fidèles sont obligés de prier chez eux.
Dans cette affaire, la gendarmerie de Pout a choisi la voix du dialogue et de la concertation. C'est ainsi que des imams ont été approchés pour jouer les bons offices pendant plus d'un mois pour rapprocher les deux camps et trouver un consensus pour la gestion de la mosquée. Mais chacun reste sur ses positions. Ainsi, l'affaire a atterri devant le préfet du département qui, selon Pape Wone qui parle au nom de l'imam Ibrahima Seck, a réuni toutes les deux parties, mais aucune solution n'est sortie de ce face à face.
Finalement le camp d'Abdoulaye Ciss a estimé qu'il était l'imam légitime et devait diriger les prières.
La tendance soutenant Ibrahima Seck, ne l'a pas entendu de cette oreille et la tension s'est exacerbée le dimanche. D'ailleurs, la gendarmerie avait préconisé comme solution alternative, que Ibrahima Seck et Abdoulaye Ciss ne dirigent pas les prières en attendant qu'une solution définitive soit trouvée. Mais les deux camps sont également restés sourds à cette proposition et toute la journée d'hier, les gendarmes étaient aux aguets, notamment devant la mosquée, qui du coup, a été fermée provisoirement par l'autorité administrative pour parer à toute éventualité. Puisqu'actuellement les deux camps campent toujours sur leurs positions, les fidèles sont obligés de prier chez eux.
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