Le problème de cette agression contre la Syrie est plus sérieux et plus grave pour l'Europe qu’il ne parait à première vue.
En effet, les initiateurs de cette confrontation ont usé et abusé de l'hostilité, parmi les puissances occidentales, non seulement vis à vis de Assad, mais aussi, et principalement, de l'influence grandissante de la Russie au Moyen Orient, où les Etats Unis, la France et la Grande Bretagne faisaient la pluie et le beau temps.
Mais l’Europe, dont la France, a perdu de vue du Brexit, et de la volonté de Trump de se désengager de l'OTAN et des Accords multilatéraux, dont ceux portés par l'Europe, avec le soutien de Theresa May !
Ce n’est donc pas par hasard, que c’est à Londres que cette stratégie a débuté sur initiative personnelle de Theresa May, soutenue par Trump, en accusant publiquement la Russie, d’user d’armes chimiques sur son sol, pour éliminer ses adversaires.
La France de Macron s’est engouffrée dans ce piège anti- Europe, pour justifier sa prétention d’incarner, en Europe, un « nouveau Napoléon » !
Il devenait donc aisé pour Theresa May et Trump, de l’embarquer dans une aventure anti- européenne, sous couvert d’hostilité à la Russi, qui est le point de repère de la folie de grandeur historique des gouvernements Français.
C’est pour cela, que c’est Theresa May qui est montée au créneau pour justifier cette attaque innommable contre la Syrie, sans « preuve ni mandat » comme l’a si bien dit Mellenchon, et non Macron, encore moins Trump, alors que l’agression similaire contre l’Irak, a été entièrement endossée par les Etats Unis qui l’avaient initiée.
C’est l’Europe que Theresa May et Trump veulent disloquer, qui s’est faite un nouvel adversaire, dont la réaction peut précipiter la dislocation est tant recherchée par ses amis « va- t en guerre contre la Syrie » !
Dans cette nouvelle configuration de rapports de force qui se dessine, l’Union européenne, dont la France, qui risque d’être soumise aux représailles économiques et militaires Russes, seront obligées d’accepter toutes les exigences, au plan économique et militaire, de Theresa May et de Trump.
Cette perspective va mettre fin au rêve insensé de ce « petit Napoléon » qui est Macro, qui va nécessairement provoquer en Europe, notamment en France, un réflexe de dignité et de cohérence, pour mettre fin à cette dérive belliciste qui prend la Russie comme un «punchingball ».
Le « petit Napoléon » est bien prisonnier de son rêve de « grandeur historique de la France », dont le repère est la Russie, depuis « Pierre Le Grand », Tsar de toutes les Russies !
Ainsi, ce qui se joue dans cette agression contre la Syrie, c’est bien le devenir de l’Union européenne et la paix dans le monde, et non, le sort politique de Assad, encore moins celui des populations Syriennes prises entre les feux de cette sale guerre mise en oeuvre par les Etats Unis, l’Arabie Saoudite et Israël.
Dans notre pays, et en Afrique, les Républicains démocrates épris de justice, sont interpellés devant cette agression qui met en péril l’Indépendance des peuples, la paix civile, la stabilité, leurs Institutions, et la justice sociale.
L’Assemblée générale de l’ONU devrait être convoquée pour statuer sur cette agression qui met en péril la paix dans le monde.
Ibrahima SENE PIT/SENEGAL
Dakar le 14 Avril 2018
En effet, les initiateurs de cette confrontation ont usé et abusé de l'hostilité, parmi les puissances occidentales, non seulement vis à vis de Assad, mais aussi, et principalement, de l'influence grandissante de la Russie au Moyen Orient, où les Etats Unis, la France et la Grande Bretagne faisaient la pluie et le beau temps.
Mais l’Europe, dont la France, a perdu de vue du Brexit, et de la volonté de Trump de se désengager de l'OTAN et des Accords multilatéraux, dont ceux portés par l'Europe, avec le soutien de Theresa May !
Ce n’est donc pas par hasard, que c’est à Londres que cette stratégie a débuté sur initiative personnelle de Theresa May, soutenue par Trump, en accusant publiquement la Russie, d’user d’armes chimiques sur son sol, pour éliminer ses adversaires.
La France de Macron s’est engouffrée dans ce piège anti- Europe, pour justifier sa prétention d’incarner, en Europe, un « nouveau Napoléon » !
Il devenait donc aisé pour Theresa May et Trump, de l’embarquer dans une aventure anti- européenne, sous couvert d’hostilité à la Russi, qui est le point de repère de la folie de grandeur historique des gouvernements Français.
C’est pour cela, que c’est Theresa May qui est montée au créneau pour justifier cette attaque innommable contre la Syrie, sans « preuve ni mandat » comme l’a si bien dit Mellenchon, et non Macron, encore moins Trump, alors que l’agression similaire contre l’Irak, a été entièrement endossée par les Etats Unis qui l’avaient initiée.
C’est l’Europe que Theresa May et Trump veulent disloquer, qui s’est faite un nouvel adversaire, dont la réaction peut précipiter la dislocation est tant recherchée par ses amis « va- t en guerre contre la Syrie » !
Dans cette nouvelle configuration de rapports de force qui se dessine, l’Union européenne, dont la France, qui risque d’être soumise aux représailles économiques et militaires Russes, seront obligées d’accepter toutes les exigences, au plan économique et militaire, de Theresa May et de Trump.
Cette perspective va mettre fin au rêve insensé de ce « petit Napoléon » qui est Macro, qui va nécessairement provoquer en Europe, notamment en France, un réflexe de dignité et de cohérence, pour mettre fin à cette dérive belliciste qui prend la Russie comme un «punchingball ».
Le « petit Napoléon » est bien prisonnier de son rêve de « grandeur historique de la France », dont le repère est la Russie, depuis « Pierre Le Grand », Tsar de toutes les Russies !
Ainsi, ce qui se joue dans cette agression contre la Syrie, c’est bien le devenir de l’Union européenne et la paix dans le monde, et non, le sort politique de Assad, encore moins celui des populations Syriennes prises entre les feux de cette sale guerre mise en oeuvre par les Etats Unis, l’Arabie Saoudite et Israël.
Dans notre pays, et en Afrique, les Républicains démocrates épris de justice, sont interpellés devant cette agression qui met en péril l’Indépendance des peuples, la paix civile, la stabilité, leurs Institutions, et la justice sociale.
L’Assemblée générale de l’ONU devrait être convoquée pour statuer sur cette agression qui met en péril la paix dans le monde.
Ibrahima SENE PIT/SENEGAL
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