La France accueille le 19e Sommet de la Francophonie les 4 et 5 octobre à la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts. C’est dans l’enceinte historique doté des outils numériques qui accueille toute la communauté francophone. Ce qui peut symboliser la volonté d’ouverture de la langue française sur le reste du monde, sur la technologie et sur la jeunesse. D’où d’ailleurs, le thème retenu d’un commun accord entre le président Macron et la secrétaire générale de la francophonie : « créer, innover et entreprendre en français ».
Dans son discours lors de l’ouverture du sommet, Louise Mushikiwabo a soutenu avoir mené à la tête de l’organisation, un chantier en consolidant sa maturité. « L’OIF 2024 s’est alignée aux standards internationaux en matière de fonctionnement et se pose comme un acteur diplomatique, politique et des opérations, très engagé sur les enjeux. Nous sommes présent à travers nos représentations, dans 13 capitales du monde francophone. Et puisque les idées reçues tenaces finissent par faire presque presque vérité, je veux le dire clairement : « Non, la francophonie n’est pas un repli sur soi contre l’anglais. En effet, c’est tout le contraire C’est une communauté qui promeut la langue française dans la diversité linguistique qui caractérise notre langue aujourd’hui et pour le multilinguisme sur la scène internationale ». La secrétaire générale de la francophonie ne s’en est pas arrêtée à ce stade. La question de la « françafrique » fera partie de son discours. « Non, la francophone n’est pas la Franca-Afrique, elle n’est pas seulement hexagonale et ou africaine, elle est mondiale et est présente sur les cinq continents, elle est un bien commun dont 88 états. C’est une enceinte dynamique moderne, active au service de projets concrets de terrain... »
Dans son discours lors de l’ouverture du sommet, Louise Mushikiwabo a soutenu avoir mené à la tête de l’organisation, un chantier en consolidant sa maturité. « L’OIF 2024 s’est alignée aux standards internationaux en matière de fonctionnement et se pose comme un acteur diplomatique, politique et des opérations, très engagé sur les enjeux. Nous sommes présent à travers nos représentations, dans 13 capitales du monde francophone. Et puisque les idées reçues tenaces finissent par faire presque presque vérité, je veux le dire clairement : « Non, la francophonie n’est pas un repli sur soi contre l’anglais. En effet, c’est tout le contraire C’est une communauté qui promeut la langue française dans la diversité linguistique qui caractérise notre langue aujourd’hui et pour le multilinguisme sur la scène internationale ». La secrétaire générale de la francophonie ne s’en est pas arrêtée à ce stade. La question de la « françafrique » fera partie de son discours. « Non, la francophone n’est pas la Franca-Afrique, elle n’est pas seulement hexagonale et ou africaine, elle est mondiale et est présente sur les cinq continents, elle est un bien commun dont 88 états. C’est une enceinte dynamique moderne, active au service de projets concrets de terrain... »
Louise Mushikiwabo rappelle que la francophonie a adopté une stratégie multilatérale plus inclusive et plus solidaire pour tenir davantage compte de l’ensemble des préoccupations de tous les États membres.
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