L’aéroport de Maïtigua deTripoli était bouclé samedi 10 septembre 2011 en fin d’après midi. Des mesures de sécurité exceptionnelles pour l’arrivée du numéro un du Conseil national de transition dans la capitale libyenne. Après sept mois de combats, Moustapha Abdeljalil affirme son rôle de numéro un du pays en vue de la reconstruction de la Libye.
Lorsque Moustapha Abdeljalil pose le pied à Tripoli, il foule l’ancien tapis rouge de Kadhafi. Tout un symbole pour cette arrivée mouvementée.
Dès la descente de l’avion, le numéro 1 du CNT, impassible, charismatique a été happé par les combattants censés le protéger. Des révolutionnaires fiers de toucher, de croiser le regard de leur leader.
Moustapha Abdeljalil prend enfin ses quartiers dans Tripoli après de nombreuses hésitations. Son installation dans la capitale coïncide avec la fin de l’ultimatum et la reprise des combats. « La Libye sera libre lorsque les villes de Syrte, de Bani Walid et de Sabha seront prises » a-t-il déclaré.
( RFI )
Le vol depuis Benghazi, annoncée au dernier moment pour des raisons de sécurité, c’est aussi un signal fort adressé directement à Kadhafi, une réponse aux récents messages du guide. Son arrestation est la seconde priorité pour le leader du CNT.
Dans les salons de réception de l’aéroport, le patron du conseil de transition a rencontré les sages de Tripoli, notamment des muezzins et des cheicks, à qui il a rendu hommage et a signifié qu’il comptait sur eux pour la reconstruction de la Libye.
Et même si elle reste pour le moment symbolique car les futurs enjeux politiques sont immenses, l’arrivée d’Abdeljalil à Tripoli signe un peu plus la fin de l’ère Kadhafi.
Lorsque Moustapha Abdeljalil pose le pied à Tripoli, il foule l’ancien tapis rouge de Kadhafi. Tout un symbole pour cette arrivée mouvementée.
Dès la descente de l’avion, le numéro 1 du CNT, impassible, charismatique a été happé par les combattants censés le protéger. Des révolutionnaires fiers de toucher, de croiser le regard de leur leader.
Moustapha Abdeljalil prend enfin ses quartiers dans Tripoli après de nombreuses hésitations. Son installation dans la capitale coïncide avec la fin de l’ultimatum et la reprise des combats. « La Libye sera libre lorsque les villes de Syrte, de Bani Walid et de Sabha seront prises » a-t-il déclaré.
( RFI )
Le vol depuis Benghazi, annoncée au dernier moment pour des raisons de sécurité, c’est aussi un signal fort adressé directement à Kadhafi, une réponse aux récents messages du guide. Son arrestation est la seconde priorité pour le leader du CNT.
Dans les salons de réception de l’aéroport, le patron du conseil de transition a rencontré les sages de Tripoli, notamment des muezzins et des cheicks, à qui il a rendu hommage et a signifié qu’il comptait sur eux pour la reconstruction de la Libye.
Et même si elle reste pour le moment symbolique car les futurs enjeux politiques sont immenses, l’arrivée d’Abdeljalil à Tripoli signe un peu plus la fin de l’ère Kadhafi.
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