Moussa Tine ne voit pas de différence entre la position de Talla Sylla et celle du Comité national de pilotage des Assises nationales (CNP)


Moussa Tine ne voit pas de différence entre la position de Talla Sylla et celle du Comité national de pilotage des Assises nationales (CNP)
DAKARACTU.COM  Moussa Tine ne voit aucune différence entre la position adoptée par Talla Sylla sur Macky Sall quant à l'application des Assises Nationales et sur celle du CNP. "Talla défend toujours des causes nobles et des idées importantes", dit Moussa Tine qui estime que Macky Sall a pris un engagement ferme quant à l'application des conclusions des Assises.
Mardi 6 Mars 2012




1.Posté par Leuk le 06/03/2012 18:28
Ce que dit Talla, c'est très clair : Macky n'a pas encore donné des garanties!

Quant aux promesses ! ?
Qui est Macky ?

Jusque là Macky a-t-il respecté les différents accords/pactes ayant jalonné sa carrière politique? De son initiation à AJ/PADS au PDS foulant au pied toute idéologie, de ses relations avec son mentor IDY, avec Père Wade, de l'unité de Benno-SS, de la dynamique du M23.... n’y a-t-il pas là des éléments inquiétants ?

« ALLAH N'AIME PAS LES TRAITRES » dixit Idy depuis sa cellule à prison de Reubeuss

KOU MOUSS, DAGNOU NAKHONN DAW !
KOU DOBINN RAY SA MAM, BO SENE LOU GNOUL DAW

2.Posté par TANOR le 06/03/2012 21:08
Des sirènes perverses, venues d’ailleurs, manœuvrent sournoisement pour domestiquer les populations africaines et les asservir durablement. Face à cette funeste entreprise, il y a des fils de l’Afrique qui ont choisi de mener le combat, au nom de la dignité et de l’honneur du continent.

En effet c’est depuis le 17ème siècle que l’Afrique a été, du fait de sa position géostratégique, le théâtre des expériences les plus tragiques et les plus insidieuses d’exploitation de l'homme par l’homme. Cette exploitation, savamment orchestrée, a connu plusieurs phases successives qui, sous des formes multiples et centrifuges, ont durablement déstructuré nos sociétés, aliéné nos esprits, effacé nos cultures, colonisé nos âmes et fait mains basses sur toutes nos richesses.

Au Sénégal, cette politique a produit une économie extravertie, entièrement au service de la puissance colonisatrice, engendré une architecture institutionnelle et des alliances politiques qui privilégient les suppôts de l’Occident au détriment des véritables patriotes et acteurs du développement.

D’abord sous les formes de l’esclavage, elle s’est muée en néo colonisation qui apparaît, désormais, sous les formes d’un « nouvel ordre mondial » inique au service d’une « nouvelle civilisation » qui exclue les valeurs intrinsèques et l’identité des sociétés agressées. André Malraux l’avait prophétisé lorsqu’il disait que « le vingt et unième siècle sera religieux ou ne sera pas ». Huntington et Fukuyama, célèbres « prospectivistes » américains, l’ont théorisé en parlant, le premier, de « choc des civilisations » et le second de « la fin de l’histoire». Les Bush- père et fils- avec leur éminence grise Carl Rove- l’ont matérialisé en définissant « un axe du mal » qui a conduit aux deux guerres en Irak, au soutien indéfectible des massacres systématiques du peuple palestinien et à l’intervention inconsidérée des forces de l’OTAN, sous la bannière américaine en Afghanistan.

Cette politique, qui commence à perdurer, repose sur une veille systématique qui permet de neutraliser tout éveilleur de conscience, par le chantage, la diabolisation, la déstabilisation, voire la liquidation physique. Tous les leaders africains, qui ont eu le courage de s’opposer à la volonté de l’Occident, de réclamer la dignité, la liberté de ton et d’action, ont été combattus, brisés, diabolisés, stipendiés, quand ils n’ont pas été purement et simplement assassinés.

Abdoulaye Wade fait partie de cette catégorie d’Africains, fiers et patriotes, qui refusent la fatalité de la soumission et de la marginalisation de l’Afrique ; c’est pour cette raison qu’il dérange l’establishment qui gouverne aujourd’hui le monde. Il faut que les Sénégalais le sachent et en soient conscients : ils ont un président engagé, un combattant déterminé dans la lutte contre les inégalités, un défenseur des valeurs de civilisation négro-africaines.

Homme d’ouverture, il est aussi un personnage au caractère indépendant, qui ne peut admettre de vêtir le corset réducteur dans lequel les puissants de ce monde veulent enfermer les « petits ». Parce qu’il refuse d’être un « nègre de service », il est gênant et il dérange.

3.Posté par MANSOUR le 07/03/2012 17:21
Entre celui qui n'a pas donné une garantie et quelle garantie? et celui qui ne reconnaît pas les Assisses nationales, qui faudrait-il choisir.Il faut que Talla marteau et Tine taf taf sachent que l'heure n'est plus au jeu de yo-yo. Que ces deux-là sachent qu'ils ne sont pas obligés de soutenir le candidat Macky mais qu'ils sachent qu'ils assumerons leur choix du 2nd tout, plus de yo-yo.Surtout talla , le chômeur, président d'une association, depuis 1988, il joue au yo-yo.léngui diékhna fal ablaye wala fal macky mo fi nékk.



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