Selon un communiqué de presse de l’Ambassade d'Italie à Dakar, les dispositions concernent surtout la migration saisonnière et le travail comme employé dans certains secteurs et professions (agriculture, transports, bâtiment-construction, services touristiques et hôtellerie, etc...)
Ainsi, la croissance du quota pour 2022 va de pair avec d’autres mesures pour réglementer la migration légale en provenance de l’Afrique de l’Ouest, notamment les programmes de l’Agence de Coopération italienne (AICS) visant à lutter contre les causes profondes de la migration irrégulière en soutenant le secteur privé, la création d’emplois décents, surtout pour les jeunes, ainsi que le financement par la Banque de développement italienne (Cassa Depositi e Prestiti) en faveur des mutuelles pour des opérations de microfinance à la diaspora sénégalaise en Italie.
Sans parler des cours de formation linguistique, civique et professionnelle (projet FAMI) que certaines organisations de la société civile offrent, avec le soutien du gouvernement italien, aux ressortissants sénégalais et gambiens ayant déjà entamé un parcours de regroupement familial vers l’Italie et, enfin, la mise à disposition de 15.000 visas (au niveau global) pour des projets de formation professionnelle pouvant, par la suite, être convertis en permis de séjour de travail.
« Ces mesures concrétisent la volonté des autorités italiennes de continuer à intensifier la collaboration bilatérale avec l’Afrique pour développer un partenariat efficace en matière de migration régulière, en renforçant la mobilité légale, la lutte contre les trafiquants d’êtres humains et en réduisant les risques de migration irrégulière », souligne le document de presse.
Ainsi, la croissance du quota pour 2022 va de pair avec d’autres mesures pour réglementer la migration légale en provenance de l’Afrique de l’Ouest, notamment les programmes de l’Agence de Coopération italienne (AICS) visant à lutter contre les causes profondes de la migration irrégulière en soutenant le secteur privé, la création d’emplois décents, surtout pour les jeunes, ainsi que le financement par la Banque de développement italienne (Cassa Depositi e Prestiti) en faveur des mutuelles pour des opérations de microfinance à la diaspora sénégalaise en Italie.
Sans parler des cours de formation linguistique, civique et professionnelle (projet FAMI) que certaines organisations de la société civile offrent, avec le soutien du gouvernement italien, aux ressortissants sénégalais et gambiens ayant déjà entamé un parcours de regroupement familial vers l’Italie et, enfin, la mise à disposition de 15.000 visas (au niveau global) pour des projets de formation professionnelle pouvant, par la suite, être convertis en permis de séjour de travail.
« Ces mesures concrétisent la volonté des autorités italiennes de continuer à intensifier la collaboration bilatérale avec l’Afrique pour développer un partenariat efficace en matière de migration régulière, en renforçant la mobilité légale, la lutte contre les trafiquants d’êtres humains et en réduisant les risques de migration irrégulière », souligne le document de presse.
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