Le patron du parti Pastef, Ousmane Sonko était à Saly lors de la rencontre des députés de sa formation politique. Ces derniers s'étaient réunis dans la Petite-côte pour une session de renforcement de capacités sur les enjeux de cette nouvelle législature et le rôle des parlementaires.
"Je voudrais remercier tous ceux qui ont animé les modules et qui ont permis aux élus de bénéficier d’un premier jet de formation qu’ils semblent avoir tous apprécié surtout les thématiques relatives à l’assemblée nationale, l’installation du bureau et des autres organisations de l’AN, le vote de la loi de finance, le contrôle de l’action du gouvernement et la Haute Cour de Justice.[...]", a-t-il déclaré.
Poursuivant, Ousmane Sonko d'ajouter "
Si on a fait ça c’est pour mettre l’accent sur l’importance que nous accordons à cette institution qui me semble être centrale, qui me semble être le poumon de la vie démocratique d’un pays. C’est pourquoi j’avais dit dans le débat qui avait été agité sur le statut du chef de l’opposition que c’est la représentation parlementaire qui en principe doit déterminer le statut du chef de l’opposition parce que le débat politique se tient d’une manière continue au-delà des élections à l’Assemblée nationale. Nous considérons que l’AN doit enfin être rehaussée au niveau qui devait être le sien depuis très longtemps indépendamment de la convergence des identités politiques entre les colorations politiques entre l’AN et l’exécutif car les députés sont avant tout les députés du peuple et au-delà de la configuration le député est là pour servir un projet. Le projet que nous avons tous en commun et pour lequel nous nous sommes beaucoup battus[...]".
" Cette Assemblée Nationale doit réconcilier les sénégalais avec l’organe parlementaire qui est conçu comme un appendice simplement, un lieu d’applaudissement comme ils appellent ça et surtout j'exhorte l'ensemble des députés à ne pas oublier pourquoi ils ont été élus et envoyés à l’Assemblée nationale[...]. Donc, je n’avais pas envisagé de faire une sortie tout de suite, j’attendais la proclamation officielle des résultats définitifs par le Conseil Constitutionnel pour m’adresser aux sénégalais pour les remercier d’abord par rapport à la confiance qu’ils ont accordée à la liste de Pastef mais également pour dégager un certain nombre d’orientations à partir de maintenant. Les vrais leviers de la gouvernance nous ont été confiés pour dégager un certain nombre d’orientations pour les semaines et les mois à venir mais [...]. On se réunira régulièrement pour faire ce genre d’exercice pour que l’Assemblée nationale puisse se hisser à la hauteur et rattraper le gap qui fonde cette impression d’asymétrie avec l’exécutif et qui l’empêche de pouvoir jouer le rôle qui est attendu, c’est-à dire le rôle de contre-pouvoir quand il le faut, le rôle d’accompagnement dans la formalisation et de l’exécution des politiques publiques par le vote de la loi de finance par une loi ordinaire mais également par un certain nombre de mesures d’accompagnement", a-t-il ajouté.
Revenant sur les prochains travaux au niveau de l'hémicycle, Ousmane Sonko a rappelé. " Vu la configuration des choses, il faut s’attendre à une accélération dès l'installation de l’Assemblée nationale pour pouvoir voter la loi des finances initiales avant le 31 décembre et accélérer avec beaucoup d’autres projets qui sont déjà préparés et qui n’attendent que l’installation de l’Assemblée nationale", a-t-il conclu.
"Je voudrais remercier tous ceux qui ont animé les modules et qui ont permis aux élus de bénéficier d’un premier jet de formation qu’ils semblent avoir tous apprécié surtout les thématiques relatives à l’assemblée nationale, l’installation du bureau et des autres organisations de l’AN, le vote de la loi de finance, le contrôle de l’action du gouvernement et la Haute Cour de Justice.[...]", a-t-il déclaré.
Poursuivant, Ousmane Sonko d'ajouter "
Si on a fait ça c’est pour mettre l’accent sur l’importance que nous accordons à cette institution qui me semble être centrale, qui me semble être le poumon de la vie démocratique d’un pays. C’est pourquoi j’avais dit dans le débat qui avait été agité sur le statut du chef de l’opposition que c’est la représentation parlementaire qui en principe doit déterminer le statut du chef de l’opposition parce que le débat politique se tient d’une manière continue au-delà des élections à l’Assemblée nationale. Nous considérons que l’AN doit enfin être rehaussée au niveau qui devait être le sien depuis très longtemps indépendamment de la convergence des identités politiques entre les colorations politiques entre l’AN et l’exécutif car les députés sont avant tout les députés du peuple et au-delà de la configuration le député est là pour servir un projet. Le projet que nous avons tous en commun et pour lequel nous nous sommes beaucoup battus[...]".
" Cette Assemblée Nationale doit réconcilier les sénégalais avec l’organe parlementaire qui est conçu comme un appendice simplement, un lieu d’applaudissement comme ils appellent ça et surtout j'exhorte l'ensemble des députés à ne pas oublier pourquoi ils ont été élus et envoyés à l’Assemblée nationale[...]. Donc, je n’avais pas envisagé de faire une sortie tout de suite, j’attendais la proclamation officielle des résultats définitifs par le Conseil Constitutionnel pour m’adresser aux sénégalais pour les remercier d’abord par rapport à la confiance qu’ils ont accordée à la liste de Pastef mais également pour dégager un certain nombre d’orientations à partir de maintenant. Les vrais leviers de la gouvernance nous ont été confiés pour dégager un certain nombre d’orientations pour les semaines et les mois à venir mais [...]. On se réunira régulièrement pour faire ce genre d’exercice pour que l’Assemblée nationale puisse se hisser à la hauteur et rattraper le gap qui fonde cette impression d’asymétrie avec l’exécutif et qui l’empêche de pouvoir jouer le rôle qui est attendu, c’est-à dire le rôle de contre-pouvoir quand il le faut, le rôle d’accompagnement dans la formalisation et de l’exécution des politiques publiques par le vote de la loi de finance par une loi ordinaire mais également par un certain nombre de mesures d’accompagnement", a-t-il ajouté.
Revenant sur les prochains travaux au niveau de l'hémicycle, Ousmane Sonko a rappelé. " Vu la configuration des choses, il faut s’attendre à une accélération dès l'installation de l’Assemblée nationale pour pouvoir voter la loi des finances initiales avant le 31 décembre et accélérer avec beaucoup d’autres projets qui sont déjà préparés et qui n’attendent que l’installation de l’Assemblée nationale", a-t-il conclu.
Autres articles
-
KOLDA / Boubacar Konta : « il serait intéressant pour nous de bénéficier des fonds verts climats pour mieux lutter contre le changement climatique... »
-
Lutte contre les menaces terroristes et insurrectionnelles dans la région Sahélo-Saharienne : l'UA tient une rencontre de haut niveau du 25 au 27 novembre à Dakar
-
Arrestations de Moustapha Diakhaté et Adama Gaye : L’APR dénonce « une dictature rampante » et exige leur libération
-
Mort de l'écrivain sud-africain et militant anti-apartheid Breyten Breytenbach
-
Dr Macoumba Diouf tire un bilan des législatives 2024 et félicite ses concitoyens