Me Assane Dioma Ndiaye dénonce la torture dans les commissariats et brigades.

DAKARACTU.COM- Après les révélations sur un jeune homme rendu impuissant par la torture qu’il a subie dans les locaux de la police, le président de l'Organisation nationale pour la défense des droits de l'homme (Ondh), Me Assane Dioma Ndiaye, ne décolère toujours pas.


Me Assane Dioma Ndiaye dénonce la torture dans les commissariats et brigades.
Il est indigné par le fait que le procureur ne s’autosaisisse pas sur les nombreux cas de tortures dans les commissariats de police et dans les brigades de gendarmerie.
« Aujourd’hui, il y a dans ces lieux toutes sortes de tortures. La torture est considérée comme la plus grande atteinte à la dignité humaine. On est choqué de voir que même le parquet, devant de telles révélations, ne s’autosaisit pas », dénonce Me Ndiaye.
 A l’en croire, on est en train d’assister à une banalisation de cette pratique en passe de devenir structurelle au Sénégal. Notre pays a pourtant signé et ratifié la Convention des Nations unies de 1984 qui fait obligation à ses autorités publiques de prévenir et de punir tout acte de torture. 
 
Jeudi 25 Août 2011




1.Posté par Pepeol le 26/08/2011 08:28
Franchement je commence sérieusement à douter de l'objectivité de l'ONDH de Me Assane Dioma NDIAYE.

Sur le fonds je suis d'accord qu'il faut lutter contre les pratiques de tortures mais ce qui m'étonne c'est pour une histoire qui s'est déroulée en 1993, c'est à dire il y a 28 ans, c'est en 2011 que l'ONDH juge nécessaire d'en parler ou d'occuper les médias pour soit disant dénoncer un fléau.

Pendant tout ce temps, l'ONDH, n'était pas au courant ?? il a fallu qu'un article est paru hier dans la presse pour Me Assane Dioma NDIAYE fassent des déclarations pour combattre un fléau.

Je rappelle qu'un article est paru dans la presse d'hier qui a révélé que l'histoire en question date de 1993 et que les deux gendarmes concernés ont été condamnés et la victime avait reçu 4,5 millions avant de se faire gruger une autre personne, et la victime demande maintenant de l'aide.

Où était l'ONDH et ses responsables à l'époque où l'affaire a été jugé ???

Arrêter d'instrumentaliser ces organisations de droits de l'homme qui risque de finir par manquer toute crédibilité.

2.Posté par paul camara le 27/08/2011 14:13
Ecoutez ! cessez de parler dinstrumentaliser , ces organisations constituent les seuls salus en afrique ; certes ils ont des moyens limités face à des machines qui des moyens impossibles , voyez ce qui se passe actuellement dans notre pays et personne ne léve le plus petit doigt ,il sagit de nos freres en prison qui devaient etre presentés aux assisses depuis plus de 2 mois lautorité nous dit qu'il pas juger faute de moyens svp 3000000 frs et au meme moment le president offre 50 million a balla gaye ; plus de 110million à la féderation de foot ball , n'est ce pas piétiner le droit des autres ;
et je demande A L'ONDH à la radhoo et autres de visiter les locaux abritant les garde à vue surtout au niveau des postes de gendarmerie , aller voir celui de la brigade de recherche de dakar ,une vraie honte dans un senegal de 2011



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