Comme convenu, l'accusé Matar Diokhané fait actuellement face au président de la chambre criminelle pour les faits d'actes de terrorisme par association de malfaiteurs, actes de terrorisme par menace ou complot, blanchiment de capitaux, financement du terrorisme et apologie du terrorisme.
Revenant sur les événements de Diourbel qui ont radicalisé bien des Sénégalais de la mouvance sunnite, Matar Diokhané a reconnu que des réunions ont été tenues sous son impulsion pour apporter la réponse à d'éventuelles répétitions.
L'accusé dont l'interrogatoire a débuté tardivement en raison de l'absence de Moustapha Ndiaye alias Abou Youssouf, a fait savoir que la première rencontre s'est tenue à Mbao après qu'il a reçu Moussa Mbaye dans le Daara qu'il tenait à Bambilor. L'accusé qui s'est présenté comme un enseignant, renseigne dans cette optique, que la premiere réunion a mobilisé plus de deux cent jeunes du mouvement sunnite. Le sujet tournait autour de la réplique à apporter aux éventuels agresseurs d'un des leurs.
Mais au fur et à mesure, Matar Diokhané rapporte qu'il a fermé son Daara et est retourné en Mauritanie. Ce, après avoir vu que les rencontres qui devenaient périodiques, commençaient à dévier de l'objectif de départ. "Ça partait dans tous les sens et les choses commençaient à m'échapper", laisse-t-il entendre avant de nier avoir pris part à une quelconque tentative de recherches d'armes, mais reconnait en avoir entendu parler alors qu'il était en Mauritanie. Pays où il a connu un certain Moustapha Diop alias Abou Hatem...
Revenant sur les événements de Diourbel qui ont radicalisé bien des Sénégalais de la mouvance sunnite, Matar Diokhané a reconnu que des réunions ont été tenues sous son impulsion pour apporter la réponse à d'éventuelles répétitions.
L'accusé dont l'interrogatoire a débuté tardivement en raison de l'absence de Moustapha Ndiaye alias Abou Youssouf, a fait savoir que la première rencontre s'est tenue à Mbao après qu'il a reçu Moussa Mbaye dans le Daara qu'il tenait à Bambilor. L'accusé qui s'est présenté comme un enseignant, renseigne dans cette optique, que la premiere réunion a mobilisé plus de deux cent jeunes du mouvement sunnite. Le sujet tournait autour de la réplique à apporter aux éventuels agresseurs d'un des leurs.
Mais au fur et à mesure, Matar Diokhané rapporte qu'il a fermé son Daara et est retourné en Mauritanie. Ce, après avoir vu que les rencontres qui devenaient périodiques, commençaient à dévier de l'objectif de départ. "Ça partait dans tous les sens et les choses commençaient à m'échapper", laisse-t-il entendre avant de nier avoir pris part à une quelconque tentative de recherches d'armes, mais reconnait en avoir entendu parler alors qu'il était en Mauritanie. Pays où il a connu un certain Moustapha Diop alias Abou Hatem...
Autres articles
-
Ucad: le Syndicat des Valeurs pour les Travailleurs (SV/TES) réclame des moyens pour un campus social digne
-
Incident diplomatique: la France va convoquer l'ambassadeur d'Israël à Paris (Affaires étrangères)
-
Biden s'engage à une transition "pacifique et ordonnée" avec Trump
-
CIJ: l'Irlande se joindra d'ici "la fin de l'année" à la procédure sud-africaine contre Israël
-
Haro contre l’impunité amnistiante : abrogation de l’amnistie de 2024 et réforme des modalités d’adoption d’une loi d’amnistie