Interrogé sur le rôle de l’Union africaine dans le règlement de la crise, le président Macky Sall se veut très clair et catégorique : « Il n’appartient ni à l’Union africaine ni aux Nations-Unies d’imposer une formule donnée. » Cependant, précisera le président en exercice de l’UA, tout le monde doit jouer son rôle pour le dialogue entre les différentes parties. « Nous avons envoyé un politicien et diplomate, d’abord pour aider les Libyens à se parler entre eux, de façon à instaurer un dialogue inter-libyen.
Toute autre partie de par le monde doit appuyer ce dialogue, afin d’aider le peuple libyen à trouver une approche de sortie de crise. Il n’appartient ni à l’Union africaine ni aux Nations-Unies d’imposer une formule donnée en disant qu’elle est la meilleure. Je pense que les différentes parties en présence doivent dialoguer entre elles et nous les encourageons dans cette voie. C’est entre libyens qu’ils doivent parvenir à une sortie de crise et choisir le régime politique qui leur convient, puis organiser des élections. »
En outre, précise encore le président Sénégalais, aucune sortie de crise peut se tenir si les conditions idoines ne sont pas réunies. Toutefois, il dit accompagner le dialogue entre les différents acteurs du pays pour qu’un consensus puisse être trouvé. « On ne peut pas tenir des élections quand les conditions essentielles ne sont pas réunies. Mais nous discutons avec le gouvernement libyen et les autres parties, dans l’espoir que ce dialogue débouche sur une entente durable susceptible de conduire à une réconciliation qui donnera, à son tour, une forte impulsion au processus constitutionnel, suivant le modèle que les Libyens eux-mêmes auront choisi. Donc, nous devons les accompagner, les soutenir et les appuyer. Que ce soit au niveau de l’Union africaines, des pays du Golfe, de l’Union européenne ou de la Turquie, nous devons faciliter le processus, de manière à aider les libyens à résoudre leurs problèmes, des problèmes qui leur ont été imposés de l’extérieur ».
Toute autre partie de par le monde doit appuyer ce dialogue, afin d’aider le peuple libyen à trouver une approche de sortie de crise. Il n’appartient ni à l’Union africaine ni aux Nations-Unies d’imposer une formule donnée en disant qu’elle est la meilleure. Je pense que les différentes parties en présence doivent dialoguer entre elles et nous les encourageons dans cette voie. C’est entre libyens qu’ils doivent parvenir à une sortie de crise et choisir le régime politique qui leur convient, puis organiser des élections. »
En outre, précise encore le président Sénégalais, aucune sortie de crise peut se tenir si les conditions idoines ne sont pas réunies. Toutefois, il dit accompagner le dialogue entre les différents acteurs du pays pour qu’un consensus puisse être trouvé. « On ne peut pas tenir des élections quand les conditions essentielles ne sont pas réunies. Mais nous discutons avec le gouvernement libyen et les autres parties, dans l’espoir que ce dialogue débouche sur une entente durable susceptible de conduire à une réconciliation qui donnera, à son tour, une forte impulsion au processus constitutionnel, suivant le modèle que les Libyens eux-mêmes auront choisi. Donc, nous devons les accompagner, les soutenir et les appuyer. Que ce soit au niveau de l’Union africaines, des pays du Golfe, de l’Union européenne ou de la Turquie, nous devons faciliter le processus, de manière à aider les libyens à résoudre leurs problèmes, des problèmes qui leur ont été imposés de l’extérieur ».
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