Mamadou Ndoye, secrétaire général de la Ligue démocratique (LD) a signalé, dimanche à Mbour, que les réformes proposées au référendum par le président de la République Macky Sall, n’entrent pas en contradiction avec les conclusions des assises nationales et de la Commission nationale de réformes institutionnelles (CNRI).
M. Ndoye a démarré à Mbour sa campagne en faveur d’un "Oui massif" par la tenue d’une conférence publique sur le thème : "le Oui au référendum, pourquoi ?" en présence des responsables de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (BBY).
"Il faut éviter de confondre les questions posées par le référendum à d’autres qui n’ont rien n’à voir avec. Il y a, certes, des enjeux politiques qui existent dans toutes les élections. Mais il s’agit ici d’un référendum et non d’une élection. Et ces enjeux ne doivent pas occulter la question essentielle du +Oui+ ou du +Non+", a-t-il indiqué.
"Il ne s’agit pas de dire de dire +Oui+ ou +Non+ au fait que Macky (Sall) a respecté ou n’a pas respecté sa parole. Cette question n’est pas posée par le référendum. La question n’est pas aussi le choix entre les réformes proposées par la CNRI et les assises nationales et celles proposées au référendum (...)", a estimé le secrétaire général de la LD.
Selon Mamadou Ndoye, le texte soumis au référendum propose "la rationalisation et la modernisation des partis politiques" qui sont une pléthore aujourd’hui au Sénégal dépassant le nombre de 200 et pouvant amener "l’anarchie et le désordre" pas compatibles avec la modernisation et la rationalisation.
"Ce n’est pas parce que Macky Sall n’applique pas le quinquennat à son mandat actuel que nous devons le rejeter définitivement et rester dans le septennat", a dit M. Ndoye.
Le patron de la LD a souligné qu’il y a plusieurs questions qui sont soumises au référendum et qui constituent des avancées dans notre système démocratique mais aussi par rapport à la construction citoyenne et au respect des droits humains.
"Si on a des avancées, il faut les prendre et ensuite, continuer le combat pour le reste", a dit Mamadou Ndoye.
M. Ndoye a démarré à Mbour sa campagne en faveur d’un "Oui massif" par la tenue d’une conférence publique sur le thème : "le Oui au référendum, pourquoi ?" en présence des responsables de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (BBY).
"Il faut éviter de confondre les questions posées par le référendum à d’autres qui n’ont rien n’à voir avec. Il y a, certes, des enjeux politiques qui existent dans toutes les élections. Mais il s’agit ici d’un référendum et non d’une élection. Et ces enjeux ne doivent pas occulter la question essentielle du +Oui+ ou du +Non+", a-t-il indiqué.
"Il ne s’agit pas de dire de dire +Oui+ ou +Non+ au fait que Macky (Sall) a respecté ou n’a pas respecté sa parole. Cette question n’est pas posée par le référendum. La question n’est pas aussi le choix entre les réformes proposées par la CNRI et les assises nationales et celles proposées au référendum (...)", a estimé le secrétaire général de la LD.
Selon Mamadou Ndoye, le texte soumis au référendum propose "la rationalisation et la modernisation des partis politiques" qui sont une pléthore aujourd’hui au Sénégal dépassant le nombre de 200 et pouvant amener "l’anarchie et le désordre" pas compatibles avec la modernisation et la rationalisation.
"Ce n’est pas parce que Macky Sall n’applique pas le quinquennat à son mandat actuel que nous devons le rejeter définitivement et rester dans le septennat", a dit M. Ndoye.
Le patron de la LD a souligné qu’il y a plusieurs questions qui sont soumises au référendum et qui constituent des avancées dans notre système démocratique mais aussi par rapport à la construction citoyenne et au respect des droits humains.
"Si on a des avancées, il faut les prendre et ensuite, continuer le combat pour le reste", a dit Mamadou Ndoye.