Le massacre de 14 personnes dans la forêt classée de Boffa-Bayotte, le 6 janvier dernier, a été « une alerte et une mise en garde » pour tous les Sénégalais, surtout pour ceux qui travaillent au règlement du conflit en Casamance. C’est le « point de vue » de la présidente du Haut Conseil du Dialogue Social.
Innocence Ntap Ndiaye a fait savoir ce « point de vue » en marge de la fête foraine de la cathédrale Saint-Antoine de Padoue, en ces termes : « c’est mon point de vue, parce que je pense que c’est un événement qui est venu au mauvais moment, puisqu’il est venu au moment où nous nous étions endormis sur nos lauriers ».
Pour la présidente du HCDS, la tuerie de Boffa-Bayotte est « une alerte et une mise en garde en ce sens qu’elle a permis à tous les Sénégalais de prendre conscience de la nécessité de régler ce conflit, mais également une prise de conscience nationale sur la question ».
S’exprimant sur l’une de ses déclarations lors d’une émission radiophonique, en rapport avec la gestion de la crise en Casamance, et qui a fait réagir beaucoup d’intellectuels originaires de cette partie du pays, certains l’ayant même critiquée, Mme Ndiaye a tenu à « clarifier » le débat. Elle a notamment fait savoir ceci : « ce débat n’a même pas besoin d’être clarifié, car lorsqu’on dit des choses, il faut les analyser. J’ai dit, il n’y a pas de coordination entre les structures, c’est le mot-clef de mon intervention. J’ai dit qu’il faut mettre un stand-by ».
La présidente du HCDS est la marraine de l’édition 2018 de la fête foraine de la cathédrale Saint-Antoine de Padoue.
Innocence Ntap Ndiaye a fait savoir ce « point de vue » en marge de la fête foraine de la cathédrale Saint-Antoine de Padoue, en ces termes : « c’est mon point de vue, parce que je pense que c’est un événement qui est venu au mauvais moment, puisqu’il est venu au moment où nous nous étions endormis sur nos lauriers ».
Pour la présidente du HCDS, la tuerie de Boffa-Bayotte est « une alerte et une mise en garde en ce sens qu’elle a permis à tous les Sénégalais de prendre conscience de la nécessité de régler ce conflit, mais également une prise de conscience nationale sur la question ».
S’exprimant sur l’une de ses déclarations lors d’une émission radiophonique, en rapport avec la gestion de la crise en Casamance, et qui a fait réagir beaucoup d’intellectuels originaires de cette partie du pays, certains l’ayant même critiquée, Mme Ndiaye a tenu à « clarifier » le débat. Elle a notamment fait savoir ceci : « ce débat n’a même pas besoin d’être clarifié, car lorsqu’on dit des choses, il faut les analyser. J’ai dit, il n’y a pas de coordination entre les structures, c’est le mot-clef de mon intervention. J’ai dit qu’il faut mettre un stand-by ».
La présidente du HCDS est la marraine de l’édition 2018 de la fête foraine de la cathédrale Saint-Antoine de Padoue.
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