DAKARACTU.COM - « Nous souhaiterions juste de la part des autorités Sénégalaises, la confirmation de liens d’amitié ou d’affaires entre la famille WADE et M. Pierre AÏM. Nous pourrions ainsi aider le Sénégal à
récupérer les actifs en question ».
Rien que ces mots, dans la situation actuelle où la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) est critiquée de toutes parts, pourraient être perçus comme un coup de pouce divin. Car la dernière pique en date essuyée par cette Cour est celle de Me Assane Diouma Ndiaye, qui demande la libération de Karim, faute de preuve.
Dakaractu est pourtant est mesure de vous assurer depuis plus de trois mois, une correspondance qui peut être décisive à été envoyée du substitut du procureur, et est demeurée sans suite.
Pire nous avons pu savoir que suite à une conversation téléphonique l’an dernier avec Monsieur Nicolas Giannakopoulos de l'Observatoire du Crime Organisé , ce dernier avait envoyé un email avec quelques détails du cas Karim WADE de même que ses coordonnées.
Une correspondance qui à ce jour n’a connu aucun retour.
Et le curieux dans tout cela est que la correspondance en question livrait des détails renversants sur cette affaire devenue une épine au pied du régime de Macky.
« Lors d'une enquête portant sur une affaire de mauvaise gestion entre la Suisse et l'Angleterre, nous sommes tombés sur des actifs qui pourraient être liés aux malversations commises au Sénégal notamment par l'ancienne équipe au pouvoir. En effet, il est apparu lors des recherches, que M. Emmanuel AÏM était investisseur dans l'actif sur lequel nous enquêtions mais également dans d'autres actifs en Inde, dans les Caraïbes et en Australie au travers d'un fond d'investissement basé à Londres » mentionnait Nicolas Giannakopoulos dans sa lettre au procureur.
Nul besoin d’être divin pour déceler les liens de parentés et d’affaires entre les deux Aïm que sont Pierre et Emmanuel, car la correspondance précise :
« Emmanuel et un autre sont les rejetons d'un certain Pierre AÏM, lequel avait non seulement travaillé de manière proche avec M. Karim WADE, aujourd'hui sous procès, mais qu'il aurait également détourné
d'importantes sommes d'argent appartenant au Sénégal. Il est fait mention dans un article que M. Pierre AÏM aurait détourné la somme de 700M USD qu'il aurait transférée sur le compte de son fils Emmanuel ».
Et loin de s’en arrêter là, Nicolas Giannakopoulos de l'Observatoire du Crime Organisé et PDG de Inside.Co SA, n’a demandé qu’une chose apparemment simple aux enquêteurs et par delà à l’Etat : qu’on lui assure la somme a été détournée, le reste ils s’en chargeront.
« Si le Sénégal pouvait assurer que la somme (il y en a peut être plus) mentionnée avait bel et bien été détournée, cela nous donnerait ainsi la possibilité de boucler le début du schéma de fraude et permettre au Sénégal de remonter la piste pour récupérer les investissements frauduleux avec bien sûr les intérêts gagnés sur le temps passé ».
Et bizarrement cette correspondance, ce coup de pouce qui n’attend qu’un signal est demeuré suspendu plus d’un an. Relancés il y a trois mois par le conseiller de Nicolas Giannokopoulos, le procureur et son substitut sont toujours abonnés aux absents.
Cette nouvelle donne ne fait renforcer la position de ceux qui ne réclament que justice, plus exactement que Karim soit jugé ou que faute de preuves qu’il soit libéré.
A moins que toute cette histoire n’ait servi qu’à le blanchir et faire de lui un héros, car Macky et Idy le savent mieux que quiconque : Le Sénégalais n’aime pas l’injustice et est toujours prêt céder le pouvoir…’’aux martyrs’’.
récupérer les actifs en question ».
Rien que ces mots, dans la situation actuelle où la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) est critiquée de toutes parts, pourraient être perçus comme un coup de pouce divin. Car la dernière pique en date essuyée par cette Cour est celle de Me Assane Diouma Ndiaye, qui demande la libération de Karim, faute de preuve.
Dakaractu est pourtant est mesure de vous assurer depuis plus de trois mois, une correspondance qui peut être décisive à été envoyée du substitut du procureur, et est demeurée sans suite.
Pire nous avons pu savoir que suite à une conversation téléphonique l’an dernier avec Monsieur Nicolas Giannakopoulos de l'Observatoire du Crime Organisé , ce dernier avait envoyé un email avec quelques détails du cas Karim WADE de même que ses coordonnées.
Une correspondance qui à ce jour n’a connu aucun retour.
Et le curieux dans tout cela est que la correspondance en question livrait des détails renversants sur cette affaire devenue une épine au pied du régime de Macky.
« Lors d'une enquête portant sur une affaire de mauvaise gestion entre la Suisse et l'Angleterre, nous sommes tombés sur des actifs qui pourraient être liés aux malversations commises au Sénégal notamment par l'ancienne équipe au pouvoir. En effet, il est apparu lors des recherches, que M. Emmanuel AÏM était investisseur dans l'actif sur lequel nous enquêtions mais également dans d'autres actifs en Inde, dans les Caraïbes et en Australie au travers d'un fond d'investissement basé à Londres » mentionnait Nicolas Giannakopoulos dans sa lettre au procureur.
Nul besoin d’être divin pour déceler les liens de parentés et d’affaires entre les deux Aïm que sont Pierre et Emmanuel, car la correspondance précise :
« Emmanuel et un autre sont les rejetons d'un certain Pierre AÏM, lequel avait non seulement travaillé de manière proche avec M. Karim WADE, aujourd'hui sous procès, mais qu'il aurait également détourné
d'importantes sommes d'argent appartenant au Sénégal. Il est fait mention dans un article que M. Pierre AÏM aurait détourné la somme de 700M USD qu'il aurait transférée sur le compte de son fils Emmanuel ».
Et loin de s’en arrêter là, Nicolas Giannakopoulos de l'Observatoire du Crime Organisé et PDG de Inside.Co SA, n’a demandé qu’une chose apparemment simple aux enquêteurs et par delà à l’Etat : qu’on lui assure la somme a été détournée, le reste ils s’en chargeront.
« Si le Sénégal pouvait assurer que la somme (il y en a peut être plus) mentionnée avait bel et bien été détournée, cela nous donnerait ainsi la possibilité de boucler le début du schéma de fraude et permettre au Sénégal de remonter la piste pour récupérer les investissements frauduleux avec bien sûr les intérêts gagnés sur le temps passé ».
Et bizarrement cette correspondance, ce coup de pouce qui n’attend qu’un signal est demeuré suspendu plus d’un an. Relancés il y a trois mois par le conseiller de Nicolas Giannokopoulos, le procureur et son substitut sont toujours abonnés aux absents.
Cette nouvelle donne ne fait renforcer la position de ceux qui ne réclament que justice, plus exactement que Karim soit jugé ou que faute de preuves qu’il soit libéré.
A moins que toute cette histoire n’ait servi qu’à le blanchir et faire de lui un héros, car Macky et Idy le savent mieux que quiconque : Le Sénégalais n’aime pas l’injustice et est toujours prêt céder le pouvoir…’’aux martyrs’’.
Autres articles
-
Thiès: interdiction de la marche pacifique des étudiants de l'université Iba Der Thiam de Thiès, prévue ce mercredi 15 janvier 2025.
-
Procédure de la levée de l’immunité parlementaire du député Farba Ngom: Ce que prévoient les articles 34 et 52 du règlement intérieur de l’AN
-
Levée de l’immunité parlementaire de Farba Ngom: Le groupe Parlementaire Takku Wallu Sénégal s’en démarque
-
Étudiants de Bambilor : entre précarité et abandon, l’urgence d’un logement décent
-
Kaolack : Mor Ndao finance 30 groupements de femmes et plaide pour que son projet d'installation d'une Zone économique spéciale (Zes) voit le jour