
La production de mangue a fait le plus grand bond pour devenir ''le premier produit d’exportation'' avec une réalisation de 15 000 tonnes en 2014, a indiqué, mardi à Dakar, le président de la Coopérative fédérative des acteurs de l’horticulture, Cheikh Ngane.
''C’est un record, parce que nous sommes très jeunes dans l’exportation de la mangue d’origine Sénégal par rapport à nos voisins du Mali, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso. Mais aujourd’hui nous sommes devant en termes de volume et de qualité’’, a-t-il soutenu.
Mr. Ngane s'exprimait en marge de l’ouverture de la deuxième session du Réseau de suivi des pesticides et du partage du bilan de la campagne horticole.
''Le Sénégal dispose aujourd’hui à l’exportation d’une gamme de fruits et légumes qui avoisinent la dizaine, notamment les melons, le maïs doux, les pastèques, les haricots verts, la tomate cerise et la mangue'', a-t-il précisé.
''Mais aujourd’hui, selon le président de la Coopérative fédérative des horticulteurs, la mangue est l’un des produits les plus stratégiques, parce que c’est un produit qui draine énormément de producteurs, beaucoup de familles dans les zones du Niayes, en Casamance et dans le centre du Sénégal, notamment à Dioffior''.
‘’C’est un grand produit d’avenir avec plusieurs milliers de petits planteurs qui fournissent aux exportateurs ou qui exportent eux-mêmes et on commence à avoir des vergers industriels’’, a-t-il ajouté.
La Coopérative fédérative des horticulteurs a l’ambition de faire des produits de transformation à partir de la mangue pour gagner en valeur ajoutée, selon son président.
La variété de la gamme des produits exportés fait que le Sénégal est présent presque 10 mois de l’année sur le marché des exportations.
L’idée à travers cette rencontre de deux jours avec les acteurs du secteur à l'initiative de la Direction de la protection des végétaux est ‘’d’évaluer et de mesurer les contraintes rencontrées dans l’utilisation des pesticides, notamment les problèmes d’homologation’’.
Il s’agit, pour les producteurs horticoles, d’avoir les certifications nécessaires pour rentrer dans les marchés européens. Ces certifications les obligent d’avoir des pesticides homologués aussi bien dans les pays de destination que les pays d’origine.
La rencontre est organisée également pour faire le bilan de la campagne d’exportation des fruits et légumes au Sénégal.
''C’est un record, parce que nous sommes très jeunes dans l’exportation de la mangue d’origine Sénégal par rapport à nos voisins du Mali, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso. Mais aujourd’hui nous sommes devant en termes de volume et de qualité’’, a-t-il soutenu.
Mr. Ngane s'exprimait en marge de l’ouverture de la deuxième session du Réseau de suivi des pesticides et du partage du bilan de la campagne horticole.
''Le Sénégal dispose aujourd’hui à l’exportation d’une gamme de fruits et légumes qui avoisinent la dizaine, notamment les melons, le maïs doux, les pastèques, les haricots verts, la tomate cerise et la mangue'', a-t-il précisé.
''Mais aujourd’hui, selon le président de la Coopérative fédérative des horticulteurs, la mangue est l’un des produits les plus stratégiques, parce que c’est un produit qui draine énormément de producteurs, beaucoup de familles dans les zones du Niayes, en Casamance et dans le centre du Sénégal, notamment à Dioffior''.
‘’C’est un grand produit d’avenir avec plusieurs milliers de petits planteurs qui fournissent aux exportateurs ou qui exportent eux-mêmes et on commence à avoir des vergers industriels’’, a-t-il ajouté.
La Coopérative fédérative des horticulteurs a l’ambition de faire des produits de transformation à partir de la mangue pour gagner en valeur ajoutée, selon son président.
La variété de la gamme des produits exportés fait que le Sénégal est présent presque 10 mois de l’année sur le marché des exportations.
L’idée à travers cette rencontre de deux jours avec les acteurs du secteur à l'initiative de la Direction de la protection des végétaux est ‘’d’évaluer et de mesurer les contraintes rencontrées dans l’utilisation des pesticides, notamment les problèmes d’homologation’’.
Il s’agit, pour les producteurs horticoles, d’avoir les certifications nécessaires pour rentrer dans les marchés européens. Ces certifications les obligent d’avoir des pesticides homologués aussi bien dans les pays de destination que les pays d’origine.
La rencontre est organisée également pour faire le bilan de la campagne d’exportation des fruits et légumes au Sénégal.
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