En conférence de presse cet après-midi les leaders de la coalition des forces de l’espoir ont été virulents contre le Chef de l’Etat Macky Sall. Diallo Diop du RND, membre du Front dira que les objectifs du front transcendent même l’échéance référendaire.
« Le front n’a qu’un objectif immédiat, c’est le triomphe du Non lors du Référendum du 20 Mars. A l’issue, nous verrons si nous donnerons une suite à ce front conjoncturel. Mais si vous prenez connaissance du contenu du manifeste que nous venons de vous lire, vous verrez que ces objectifs transcendent l’échéance référendaire et dans une certaine mesure l’échéance législative. Il faut savoir que le référendum de ce week-end n’a aucun autre enjeu qu’institutionnel, il n’a aucun enjeu électoral, ni présidentiel, ni législatif, encore moins local », dira-t-il.
« Assurons le triomphe du Non parce qu’il est majoritaire dans le pays, même si l’illusion médiatique pourrait faire penser le contraire. Et nous l’attendons au rendez-vous législatif qui lui, ne pourra être reporté. »
La coalition qui vote « 65 fois Non », expliquera Diallo Diop, « est une référence codée au 65% du président de la République lors de son élection au second tour qui était un bond prodigieux d’un 25% en solo à un 65% ».
« Nous savons tous à quoi ça a été lié. Mais cela nous permettra de dire que si le taux d’abstention est supérieur à 50%, le score du Oui avec le matraquage médiatique et financier dont nous sommes atteints, ce sera une dérive, si le score n’atteint pas les 65%, on pourra mesurer son degré de dépréciation sur le marché électoral. S’il descend au-dessus de 50% ce sera une dégringolade et s’il descend en dessous de 30%, ce sera une culbute. »
Sur la stratégie que va dérouler la coalition pour atteindre ses objectifs, Lamine Ba, ancien ministre libéral, fera savoir que la coalition va « utiliser les réseaux sociaux, les plateaux de télévision » et chacun ayant son origine, « utilisera les ressources de son terroir pour le triomphe du Non. »
Ce référendum est celui de la discorde nationale, assurera t-il. « En ce moment, la discorde s’est installée dans tous les segments de notre pays, elle s’est installée dans le monde universitaire, on a vu des universitaires contredirent leurs collègues, elle s’est installée dans le monde des arts, des rappeurs roulent d’un côté et d’autres de l’autre. Et si nous ne prenons garde, ça finira par une dislocation du tissu social », préviendra t-il.
« Le front n’a qu’un objectif immédiat, c’est le triomphe du Non lors du Référendum du 20 Mars. A l’issue, nous verrons si nous donnerons une suite à ce front conjoncturel. Mais si vous prenez connaissance du contenu du manifeste que nous venons de vous lire, vous verrez que ces objectifs transcendent l’échéance référendaire et dans une certaine mesure l’échéance législative. Il faut savoir que le référendum de ce week-end n’a aucun autre enjeu qu’institutionnel, il n’a aucun enjeu électoral, ni présidentiel, ni législatif, encore moins local », dira-t-il.
« Assurons le triomphe du Non parce qu’il est majoritaire dans le pays, même si l’illusion médiatique pourrait faire penser le contraire. Et nous l’attendons au rendez-vous législatif qui lui, ne pourra être reporté. »
La coalition qui vote « 65 fois Non », expliquera Diallo Diop, « est une référence codée au 65% du président de la République lors de son élection au second tour qui était un bond prodigieux d’un 25% en solo à un 65% ».
« Nous savons tous à quoi ça a été lié. Mais cela nous permettra de dire que si le taux d’abstention est supérieur à 50%, le score du Oui avec le matraquage médiatique et financier dont nous sommes atteints, ce sera une dérive, si le score n’atteint pas les 65%, on pourra mesurer son degré de dépréciation sur le marché électoral. S’il descend au-dessus de 50% ce sera une dégringolade et s’il descend en dessous de 30%, ce sera une culbute. »
Sur la stratégie que va dérouler la coalition pour atteindre ses objectifs, Lamine Ba, ancien ministre libéral, fera savoir que la coalition va « utiliser les réseaux sociaux, les plateaux de télévision » et chacun ayant son origine, « utilisera les ressources de son terroir pour le triomphe du Non. »
Ce référendum est celui de la discorde nationale, assurera t-il. « En ce moment, la discorde s’est installée dans tous les segments de notre pays, elle s’est installée dans le monde universitaire, on a vu des universitaires contredirent leurs collègues, elle s’est installée dans le monde des arts, des rappeurs roulent d’un côté et d’autres de l’autre. Et si nous ne prenons garde, ça finira par une dislocation du tissu social », préviendra t-il.