« Quand Wade quittait le pouvoir en 2012, le budget était exécuté à 60%. Le budget était consommé à plus de 60% après 3 mois. Il savait très bien de quoi il parlait ». Voilà qui est la réponse de Secrétaire Général du Gouvernement par rapport à la prédiction du Président Wade selon laquelle, le Président Macky Sall cesserait de payer les salaires après trois mois d’exécution.
L’invité de Grand Jury est formel : « Si vous avez engagé tout le budget, votre successeur n’aura rien à engager. » Heureusement, se conforte-t-il, les soutiens n’ont pas manqué. Celui de la France qui a été de 85 milliards a été des plus bénéfiques, selon Abdou Latif Coulibaly. « 85 milliards ont été dégagés par la France. Je n’ai pas cité la Banque Mondiale, l’appui budgétaire du Canada, la levée des fonds sur le marché national ».
S’étonnant que certains s’attardent sur ce soutien de la France, le natif de Sokone précise : « si la France a donné 85 milliards, les douanes ont rapporté plus de 100 milliards ». Interpellé sur l’absence d’audit général de la gestion du défunt régime, LatIf confie ne rien regretter, mais précise qu’il était juste normal de le faire. « Comme cela se fait dans tous les pays démocratiques. En France, c’est la Cour des comptes qui le fait… Il n'y a pas un jugement de valeur dessus… Quand un régime part, il faut un audit. Il n'y a pas de connotation pénale... »
L’invité de Grand Jury est formel : « Si vous avez engagé tout le budget, votre successeur n’aura rien à engager. » Heureusement, se conforte-t-il, les soutiens n’ont pas manqué. Celui de la France qui a été de 85 milliards a été des plus bénéfiques, selon Abdou Latif Coulibaly. « 85 milliards ont été dégagés par la France. Je n’ai pas cité la Banque Mondiale, l’appui budgétaire du Canada, la levée des fonds sur le marché national ».
S’étonnant que certains s’attardent sur ce soutien de la France, le natif de Sokone précise : « si la France a donné 85 milliards, les douanes ont rapporté plus de 100 milliards ». Interpellé sur l’absence d’audit général de la gestion du défunt régime, LatIf confie ne rien regretter, mais précise qu’il était juste normal de le faire. « Comme cela se fait dans tous les pays démocratiques. En France, c’est la Cour des comptes qui le fait… Il n'y a pas un jugement de valeur dessus… Quand un régime part, il faut un audit. Il n'y a pas de connotation pénale... »
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