À l’instar des autres, la communauté catholique a célébré cette année Pâques à huis clos à Kolda. Aucun rituel n’a été observé par la communauté en passant par le chemin de la croix jusqu’à la messe pascale. Chacun a fêté Pâques chez lui dans la plus stricte intimité avec sa famille, covid-19 oblige.
Heureusement, un tour effectué au marché a permis de constater que les prix n’ont pas flambé, mais la ville est dans un calme plat, contrairement aux habituelles célébrations. Et tout ceci est dû à coronavirus qui a mis ses pieds dans les plats de la fête en empêchant le traditionnel « ngalakh ».
Inès C., fidèle catholique d’avancer : « c’est dur de fêter Pâques dans ces conditions-là. Néanmoins, je me suis préparé à l’avance en achetant les denrées de première nécessité comme le pain de singe et la pâte d’arachide pour le ‘ngalakh’. Comme cette année, nous devons célébrer la fête à huis clos à cause de coronavirus, je serai avec la famille seulement du vendredi au dimanche. Selon elle, il est difficilement accepté que le dimanche jour de Pâques ressemble à un silence de cimetière.
Pâques n’a jamais été fêté à Kolda dans ce calme total. Personne ne sent que nous sommes dimanche de Pâques, tellement les choses sont monotones. Toutes les rues sont désertes. »
Pour Diouf R. , il faut faire avec puisqu’il s’agit d’une urgence sanitaire. Dans ce contexte avance-t-il : « nous allons nous conformer aux directives de l’État car c’est ensemble que nous devons vaincre le covid-19. Même si nous regrettons de n’avoir pas passé la fête dans les règles de l’art. Donc, je la célèbre en famille car je ne peux même pas inviter mes amis... »
Heureusement, un tour effectué au marché a permis de constater que les prix n’ont pas flambé, mais la ville est dans un calme plat, contrairement aux habituelles célébrations. Et tout ceci est dû à coronavirus qui a mis ses pieds dans les plats de la fête en empêchant le traditionnel « ngalakh ».
Inès C., fidèle catholique d’avancer : « c’est dur de fêter Pâques dans ces conditions-là. Néanmoins, je me suis préparé à l’avance en achetant les denrées de première nécessité comme le pain de singe et la pâte d’arachide pour le ‘ngalakh’. Comme cette année, nous devons célébrer la fête à huis clos à cause de coronavirus, je serai avec la famille seulement du vendredi au dimanche. Selon elle, il est difficilement accepté que le dimanche jour de Pâques ressemble à un silence de cimetière.
Pâques n’a jamais été fêté à Kolda dans ce calme total. Personne ne sent que nous sommes dimanche de Pâques, tellement les choses sont monotones. Toutes les rues sont désertes. »
Pour Diouf R. , il faut faire avec puisqu’il s’agit d’une urgence sanitaire. Dans ce contexte avance-t-il : « nous allons nous conformer aux directives de l’État car c’est ensemble que nous devons vaincre le covid-19. Même si nous regrettons de n’avoir pas passé la fête dans les règles de l’art. Donc, je la célèbre en famille car je ne peux même pas inviter mes amis... »
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