Les producteurs semenciers de riz du bassin de l’Anambé sont très en « colère » à cause du non-paiement de leur argent depuis trois ans, d’après le président semencier de riz des régions de Kolda, Sédhiou, Ziguinchor et Tamba.
Pour Mamadou Diang Diallo, portant leur parole, l’attente n'a que trop « duré » pour ces nombreux pères de famille qui ne dépendent que de cette activité. C’est pourquoi, ils demandent à l’État de s'exécuter en payant leur argent sur lequel ils comptent pour vivre et débuter la nouvelle campagne qui pointe à l’horizon.
Sans gants, il avance : « nous voulons que l’État nous paie car nous sommes des pères de famille. D’ailleurs, on nous doit notre argent depuis trois ans, sans même nous donner la moindre explication de la situation. À cet effet, on a fait notre devoir en produisant du riz et en le vendant à l’État. Dans ce pays, on n'entend que l’arachide mais ce qui est bizarre c'est qu'on ne parle jamais du riz. Et ce qui m’étonne au Sénégal c'est pourquoi on délaisse la riziculture alors que tout le monde mange le riz à midi. On nous doit notre argent depuis trois ans sans même nous donner la moindre explication. » Dans la foulée, il précise : « aujourd’hui, on n’a pas de moyens pour travailler à cause de ce défaut de paiement. D’ailleurs moi, on me doit 200 millions sans parler des autres. C’est pourquoi, nous interpelons le ministre de l’agriculture pour nous payer, car on est vraiment fatigué. »
À l'en croire, « les banques nous emmerdent en nous traitant de tous les noms d’oiseaux pendant que l’État nous doit de l'argent. Et nous savons que c’est possible de le faire car il y a l’argent donc on n’a qu’à nous payer. »
Revenant sur leur situation, il précise : « la campagne 2024 est arrivée alors que nous n’avons pas encore reçu le moindre sou pour entamer cette nouvelle campagne. Notre situation est difficile, car il nous faut notre argent pour continuer à produire des semences de qualité pour atteindre l’autosuffisance alimentaire. Et pour que le pays marche bien, il faut que l’agriculture marche avec des paysans modernes... »
Pour Mamadou Diang Diallo, portant leur parole, l’attente n'a que trop « duré » pour ces nombreux pères de famille qui ne dépendent que de cette activité. C’est pourquoi, ils demandent à l’État de s'exécuter en payant leur argent sur lequel ils comptent pour vivre et débuter la nouvelle campagne qui pointe à l’horizon.
Sans gants, il avance : « nous voulons que l’État nous paie car nous sommes des pères de famille. D’ailleurs, on nous doit notre argent depuis trois ans, sans même nous donner la moindre explication de la situation. À cet effet, on a fait notre devoir en produisant du riz et en le vendant à l’État. Dans ce pays, on n'entend que l’arachide mais ce qui est bizarre c'est qu'on ne parle jamais du riz. Et ce qui m’étonne au Sénégal c'est pourquoi on délaisse la riziculture alors que tout le monde mange le riz à midi. On nous doit notre argent depuis trois ans sans même nous donner la moindre explication. » Dans la foulée, il précise : « aujourd’hui, on n’a pas de moyens pour travailler à cause de ce défaut de paiement. D’ailleurs moi, on me doit 200 millions sans parler des autres. C’est pourquoi, nous interpelons le ministre de l’agriculture pour nous payer, car on est vraiment fatigué. »
À l'en croire, « les banques nous emmerdent en nous traitant de tous les noms d’oiseaux pendant que l’État nous doit de l'argent. Et nous savons que c’est possible de le faire car il y a l’argent donc on n’a qu’à nous payer. »
Revenant sur leur situation, il précise : « la campagne 2024 est arrivée alors que nous n’avons pas encore reçu le moindre sou pour entamer cette nouvelle campagne. Notre situation est difficile, car il nous faut notre argent pour continuer à produire des semences de qualité pour atteindre l’autosuffisance alimentaire. Et pour que le pays marche bien, il faut que l’agriculture marche avec des paysans modernes... »
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