" Le dialogue avec l'Afrique ne peut pas être l'otage d'un panafricanisme de bon aloi contemporain qui utilise en quelque sorte un discours post-colonial en ayant d'ailleurs des soutiens de revers qui sont les impérialistes d'aujourd'hui. Et donc, cette espèce de combination, de faux intellectuels manipulant les réseaux sociaux, utilisant le désarroi d'une jeunesse et les intérêts de la Russie ou d'autres en Afrique, soyons lucides, mais nous ne céderons pas. Et dans ce contexte, la France n'est pas en recul en Afrique. Elle est simplement lucide, elle se réorganise", telle est d'emblée la déclaration du président français sur la présence de la France en Afrique.
Revenant sur la désinformation liée aux départs des troupes françaises en Afrique, Macron de préciser. " Je dis ça parce que quand je lis une bonne partie de notre presse, il y a beaucoup de commentaires. Les gens regardant avec les lunettes d'hier, disent que c'est terrible. L'Afrique, on est en train de disparaître. Non! On a choisi de bouger en Afrique parce qu'il fallait bouger[...]. Mais on ne céde rien à la désinformation et aux ingérences[...]".
" On a décidé de réorganiser notre présence militaire en Afrique pourquoi parce qu'on avait en quelque sorte une rémanence. [...]. Nous avons proposé aux chefs d'État africains de réorganiser notre présence. Comme on est très poli, on leur a laissé la primauté de l'annonce[...]. Je veux vous dire dans bien de ces pays, on ne voulait pas enlever l'armée française ou la réorganiser, mais on l'a assumé ensemble", a-t-il indiqué.
Revenant sur la désinformation liée aux départs des troupes françaises en Afrique, Macron de préciser. " Je dis ça parce que quand je lis une bonne partie de notre presse, il y a beaucoup de commentaires. Les gens regardant avec les lunettes d'hier, disent que c'est terrible. L'Afrique, on est en train de disparaître. Non! On a choisi de bouger en Afrique parce qu'il fallait bouger[...]. Mais on ne céde rien à la désinformation et aux ingérences[...]".
" On a décidé de réorganiser notre présence militaire en Afrique pourquoi parce qu'on avait en quelque sorte une rémanence. [...]. Nous avons proposé aux chefs d'État africains de réorganiser notre présence. Comme on est très poli, on leur a laissé la primauté de l'annonce[...]. Je veux vous dire dans bien de ces pays, on ne voulait pas enlever l'armée française ou la réorganiser, mais on l'a assumé ensemble", a-t-il indiqué.
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