À l’instar des pays d’Afrique, le Sénégal a célébré la journée de l’enfant Africain. Un symposium qui a vu la participation du ministère de justice et les autres partenaires.
La directrice de l’éducation surveillée de la protection sociale (Esps) est revenue sur les acquis des politiques de l’État élaborées pour l’enfant. « Des pas ont été faits dans le domaine de l'éducation et de la santé de l'enfant avec tous les programmes élaborés … »
Elle rassure que « l'État a conscience des enfants qui ne sont pas encore pris en charge par l'éducation surveillée. C'est pourquoi l'État a adopté le programme de modernisation de l'éducation surveillée. Le ministère de la Justice est en train de travailler sur un programme de protection de remplacement avec l'institution des familles d'accueil.
Cependant, il regrette le sort imposé à des enfants innocents. « On assiste à une déshumanisation avec toutes ces violences que vous entendez sur des enfants. L'État réunira dans une instance l'ensemble des secteurs concernés pour une étude afin que des propositions soient élaborées ». Ndèye Abibatou Youm Siby ne s’est pas empêchée d'évoquer le cas de la française dans la région de Louga. Selon elle, le ressortissant français à Louga était impitoyable vis-à-vis des enfants. Et si les conditions étaient réunies, la situation ne serait pas à ce niveau. Il serait démasqué depuis lors.
Toutefois, elle reconnaît que malgré les efforts faits par l’État, il reste énormément de choses à faire. « La rue n'est pas la place des enfants. C'est un combat qui nous interpelle tous. Les adultes dans une grande irresponsabilité les mettent dans la rue et doivent être sanctionnés avec la dernière énergie ».
Le symposium est organisé pour deux jours. Les participants vont réfléchir sur des thèmes bien élaborés pour à la fin des travaux, produire un mémorandum à présenter aux différentes autorités.
La directrice de l’éducation surveillée de la protection sociale (Esps) est revenue sur les acquis des politiques de l’État élaborées pour l’enfant. « Des pas ont été faits dans le domaine de l'éducation et de la santé de l'enfant avec tous les programmes élaborés … »
Elle rassure que « l'État a conscience des enfants qui ne sont pas encore pris en charge par l'éducation surveillée. C'est pourquoi l'État a adopté le programme de modernisation de l'éducation surveillée. Le ministère de la Justice est en train de travailler sur un programme de protection de remplacement avec l'institution des familles d'accueil.
Cependant, il regrette le sort imposé à des enfants innocents. « On assiste à une déshumanisation avec toutes ces violences que vous entendez sur des enfants. L'État réunira dans une instance l'ensemble des secteurs concernés pour une étude afin que des propositions soient élaborées ». Ndèye Abibatou Youm Siby ne s’est pas empêchée d'évoquer le cas de la française dans la région de Louga. Selon elle, le ressortissant français à Louga était impitoyable vis-à-vis des enfants. Et si les conditions étaient réunies, la situation ne serait pas à ce niveau. Il serait démasqué depuis lors.
Toutefois, elle reconnaît que malgré les efforts faits par l’État, il reste énormément de choses à faire. « La rue n'est pas la place des enfants. C'est un combat qui nous interpelle tous. Les adultes dans une grande irresponsabilité les mettent dans la rue et doivent être sanctionnés avec la dernière énergie ».
Le symposium est organisé pour deux jours. Les participants vont réfléchir sur des thèmes bien élaborés pour à la fin des travaux, produire un mémorandum à présenter aux différentes autorités.
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