Pour le Forum des jeunes socialistes, le Fmi n’est ni plus ni moins que le seul responsable de la pauvreté du Sénégal et de l’Afrique. Comme ça, les poulains de Tanor de s’en expliquer : «Le Fmi, entre mensonges et falsifications de chiffres, vient encore une fois de commettre sa sale besogne. En publiant un rapport dans lequel, il place le Sénégal au rang de 25ème pays le plus pauvre du monde, le Fmi a remis en cause non pas la gestion du régime du Président Macky Sall, mais celle du Parti socialiste et du régime libéral. Dès lors, il appartient au Ps de remettre le Fmi à sa place, en mettant en exergue toutes ses contrevérités et manipulations afin de situer en toute objectivité la seule responsabilité du Fonds Monétaire International dans la pauvreté de l’Afrique et surtout du Sénégal.»
En 2000, rappellent-ils, le Ps avait réussi à assurer dans sa stratégie de relance de la production le doublement, en moyenne annuelle, du taux de croissance de la production par rapport au taux de croissance démographique : avec un taux moyen de croissance de 5,5 et un taux de croissance démographique de 2,7. «Cette voie du maintien des grands équilibres, de la rigueur dans la gestion de l’économie de notre pays, a démontré que le bilan de la création des richesses, fut sans commune mesure. Entre 1993 et 2000, la valeur des biens et services produits par notre pays, est passée de 1595 milliards F Cfa à 2956 milliards, soit un doublement», ajoutent-ils.
Pour Abdoulaye Gallo Diao, coordinateur du Forum des jeunes du Ps, «la consommation des ménages est passée de 1477 milliards F Cfa à 2535 milliards, pendant que les investissements ont littéralement doublé de 229 milliards F Cfa à 595 milliards. Le taux d’épargne des ménages a connu le même sort, évoluant de 7,4% à 14,2%. Les avoirs extérieurs nets du Sénégal étaient excédentaires à un niveau qui permettait de sécuriser au moins trois mois d’importation, car s’élevant à plus de 90 milliards F Cfa.»
«Ainsi, poursuit-il, 15 ans après, même si ce rythme n’a pas pu être soutenu durant les 12 ans du régime du Président Wade, à cause de la déstructuration du tissu industriel et du sous-secteur de l’agriculture, de la montée en puissance de la corruption et du népotisme.»
«Depuis l’avènement du régime du Président Macky Sall, des efforts considérables sont en train d’être consacrés dans tous les domaines, pour remettre le Sénégal sur les rails du développement», insistent Diao et Cie. A cet effet, le Forum des Jeunes Socialistes déclare, signe et persiste que le Fmi a publié des contrevérités dans le seul but de semer la confusion dans la conscience collective des populations africaines, pour réussir à mettre la pression sur les Gouvernements des pays cités, en vue de faire appliquer ses politiques d’appauvrissement de l’Afrique en s’emparant de ses matières premières. Pour ces derniers, il faut considérer que ce rapport n’a aucune crédibilité pour deux raisons : le Rwanda cité comme 22ème pays le plus pauvre a pourtant obtenu une mention honorable dans un bulletin du Fmi publié le 12 décembre 2014 par son département Afrique.
Qui stipule que «depuis 2000, le Rwanda connaît un développement économique remarquable, grâce à des politiques avisées qui ont permis de maintenir le taux de croissance annuel du PIB aux environs de 8 % ; De plus, les classes les plus dé- favorisées ont fortement bénéficié de la croissance enregistrée au cours de cette période, la consommation par habitant ayant augmenté plus vite. Le gouvernement est parvenu à faire reculer la pauvreté, les autorités ont centré leur action sur le secteur agricole, l’emploi et la promotion de l’égalité des chances entre hommes et femmes, pour promouvoir le partage plus vaste des fruits d’une croissance forte et soutenue».
En 2000, rappellent-ils, le Ps avait réussi à assurer dans sa stratégie de relance de la production le doublement, en moyenne annuelle, du taux de croissance de la production par rapport au taux de croissance démographique : avec un taux moyen de croissance de 5,5 et un taux de croissance démographique de 2,7. «Cette voie du maintien des grands équilibres, de la rigueur dans la gestion de l’économie de notre pays, a démontré que le bilan de la création des richesses, fut sans commune mesure. Entre 1993 et 2000, la valeur des biens et services produits par notre pays, est passée de 1595 milliards F Cfa à 2956 milliards, soit un doublement», ajoutent-ils.
Pour Abdoulaye Gallo Diao, coordinateur du Forum des jeunes du Ps, «la consommation des ménages est passée de 1477 milliards F Cfa à 2535 milliards, pendant que les investissements ont littéralement doublé de 229 milliards F Cfa à 595 milliards. Le taux d’épargne des ménages a connu le même sort, évoluant de 7,4% à 14,2%. Les avoirs extérieurs nets du Sénégal étaient excédentaires à un niveau qui permettait de sécuriser au moins trois mois d’importation, car s’élevant à plus de 90 milliards F Cfa.»
«Ainsi, poursuit-il, 15 ans après, même si ce rythme n’a pas pu être soutenu durant les 12 ans du régime du Président Wade, à cause de la déstructuration du tissu industriel et du sous-secteur de l’agriculture, de la montée en puissance de la corruption et du népotisme.»
«Depuis l’avènement du régime du Président Macky Sall, des efforts considérables sont en train d’être consacrés dans tous les domaines, pour remettre le Sénégal sur les rails du développement», insistent Diao et Cie. A cet effet, le Forum des Jeunes Socialistes déclare, signe et persiste que le Fmi a publié des contrevérités dans le seul but de semer la confusion dans la conscience collective des populations africaines, pour réussir à mettre la pression sur les Gouvernements des pays cités, en vue de faire appliquer ses politiques d’appauvrissement de l’Afrique en s’emparant de ses matières premières. Pour ces derniers, il faut considérer que ce rapport n’a aucune crédibilité pour deux raisons : le Rwanda cité comme 22ème pays le plus pauvre a pourtant obtenu une mention honorable dans un bulletin du Fmi publié le 12 décembre 2014 par son département Afrique.
Qui stipule que «depuis 2000, le Rwanda connaît un développement économique remarquable, grâce à des politiques avisées qui ont permis de maintenir le taux de croissance annuel du PIB aux environs de 8 % ; De plus, les classes les plus dé- favorisées ont fortement bénéficié de la croissance enregistrée au cours de cette période, la consommation par habitant ayant augmenté plus vite. Le gouvernement est parvenu à faire reculer la pauvreté, les autorités ont centré leur action sur le secteur agricole, l’emploi et la promotion de l’égalité des chances entre hommes et femmes, pour promouvoir le partage plus vaste des fruits d’une croissance forte et soutenue».
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