Indiquant qu’il est très loin de tout acte violent, le Président du Conseil Départemental de Thiès répète : « nous ne sommes pas du tout violents. » Parce qu’explique-t-il, « tout le monde sait qu’avec les forces que nous représentons à Thiès, si nous voulions être violents aucun de ces leaders ne pourrait faire une seule manifestation à Thiès. » « Non, au contraire nous ne sommes pas violents », insiste-t-il non sans avoir rappelé qu’il ne cesse d’inviter ses partisans « d’éviter systématiquement tous les rassemblements du camp adverse. »
Versant même dans la raillerie, Idrissa Seck dira entre deux éclats de rire : « nous avons même des partisans chez eux qui vont aller encaissement les 5 000 francs voire 100.000 francs par personne et qui reviennent chez nous parfois en oubliant d’enlever leur tee-shirt. Je leur dis si vous les agressez, vous agressez nos militants donc il faut faire très attention… » Reprenant son sérieux, il pense que « franchement le Sénégal doit dépasser la violence verbale, physique, les chantages les menaces, mais quand c’est le Président de la République lui-même qui en l’auteur, c’est extrêmement regrettable. »
Versant même dans la raillerie, Idrissa Seck dira entre deux éclats de rire : « nous avons même des partisans chez eux qui vont aller encaissement les 5 000 francs voire 100.000 francs par personne et qui reviennent chez nous parfois en oubliant d’enlever leur tee-shirt. Je leur dis si vous les agressez, vous agressez nos militants donc il faut faire très attention… » Reprenant son sérieux, il pense que « franchement le Sénégal doit dépasser la violence verbale, physique, les chantages les menaces, mais quand c’est le Président de la République lui-même qui en l’auteur, c’est extrêmement regrettable. »