Les citoyens faisant partie de la révision ordinaire de 2015 et qui attendaient leurs cartes d’électeurs peuvent encore prendre leur mal en patience. Pis, ils vont rater le train du OUI et du NON. Pour cause, note-t-on dans un communiqué du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, ces derniers n’auront pas accès au fameux sésame.
En effet, souligne-t-on, «pendant l’impression des cartes d’électeurs issues de la révision ordinaire de 2015, il est apparu des problèmes techniques qui ont empêché la Direction de l’Automatisation des Fichiers (DAF) d’éditer l’ensemble des cartes concernées par cette révision». Le texte rendu public qui fait allusion à un cas de force majeure, mentionne que le ministère de tu- telle, devant cette situation, a voulu trouver une alternative pour permettre à ces citoyens d’effectuer leur devoir civique. Cependant, la rencontre initié par le ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo avec les représentants des courants du «OUI» et du « NON», en présence d’un représentant de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA), pour les informer de cet état de fait n’a pas fait l’objet d’un commun accord.
«L’idée était d’envisager une solution pouvant garantir la participation des citoyens concernés au référendum du 20 mars 2016», note dans le document. Cette rencontre avec les deux parties a été une occasion de leur faire une proposition de faire voter, avec leur carte nationale d’identité accompagnée du récépissé délivré par la commission administrative dûment visé par la CENA. Les citoyens figurant sur la liste d’émargement des bureaux de vote et qui n’auraient pas reçu à temps leur carte d’électeur», nous dit le texte. Seulement, cette proposition n’a pas reçu le consensus nécessaire à son application. Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique «regrette l’absence du consensus requis en la matière et en informe l’opinion nationale».
En effet, souligne-t-on, «pendant l’impression des cartes d’électeurs issues de la révision ordinaire de 2015, il est apparu des problèmes techniques qui ont empêché la Direction de l’Automatisation des Fichiers (DAF) d’éditer l’ensemble des cartes concernées par cette révision». Le texte rendu public qui fait allusion à un cas de force majeure, mentionne que le ministère de tu- telle, devant cette situation, a voulu trouver une alternative pour permettre à ces citoyens d’effectuer leur devoir civique. Cependant, la rencontre initié par le ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo avec les représentants des courants du «OUI» et du « NON», en présence d’un représentant de la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA), pour les informer de cet état de fait n’a pas fait l’objet d’un commun accord.
«L’idée était d’envisager une solution pouvant garantir la participation des citoyens concernés au référendum du 20 mars 2016», note dans le document. Cette rencontre avec les deux parties a été une occasion de leur faire une proposition de faire voter, avec leur carte nationale d’identité accompagnée du récépissé délivré par la commission administrative dûment visé par la CENA. Les citoyens figurant sur la liste d’émargement des bureaux de vote et qui n’auraient pas reçu à temps leur carte d’électeur», nous dit le texte. Seulement, cette proposition n’a pas reçu le consensus nécessaire à son application. Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique «regrette l’absence du consensus requis en la matière et en informe l’opinion nationale».