Pour Idrissa Seck, le Président Abdoulaye Wade est un monument que l’Afrique devrait s’approprier malgré ses dernières erreurs qui ont été la tentative de procéder à une dévolution monarchique du pouvoir et la volonté d’obtenir un troisième mandat anticonstitutionnel.
Il n'en demeure pas moins qu'il estime que c’est le Président Macky Sall qui n’a pas fait tout ce qu’il devait faire. « Ce que Wade a fait pour Diouf, Macky devait le faire pour Wade. Il lui appartenait de penser à cela et il ne l’a pas fait. Wade a aidé Diouf à diriger la francophonie. » Pour ce qui le concerne, Idrissa Seck signale avoir très tôt nourri l’espoir de voir un jour Wade devenir l’Africain le plus adulé. « J’ai voulu pour Wade ce que Mandela a obtenu. C'est-à-dire une mention honorable sur les langues de la postérité. Mais je lui ai vainement dit que la dévolution monarchique du pouvoir et un troisième mandat anticonstitutionnel, après 30 ans de lutte pour la démocratie, étaient en mesure de tout bouleverser. »
Il ajoute que lors de son séjour en France cette semaine, un grand professeur Gabonais est venu lui dire toute son amertume quand il voit que l’expertise et l’expérience de Wade ne sont pas mises à profit par le continent africain. Une expertise déjà mise au service du Nepad, de la Renaissance africaine et de la diplomatie. Idrissa Seck d’estimer que « la réhabilitation de Wade est une nécessité, car l’Afrique n’a pas un autre patriarche de sa trempe. »
Il n'en demeure pas moins qu'il estime que c’est le Président Macky Sall qui n’a pas fait tout ce qu’il devait faire. « Ce que Wade a fait pour Diouf, Macky devait le faire pour Wade. Il lui appartenait de penser à cela et il ne l’a pas fait. Wade a aidé Diouf à diriger la francophonie. » Pour ce qui le concerne, Idrissa Seck signale avoir très tôt nourri l’espoir de voir un jour Wade devenir l’Africain le plus adulé. « J’ai voulu pour Wade ce que Mandela a obtenu. C'est-à-dire une mention honorable sur les langues de la postérité. Mais je lui ai vainement dit que la dévolution monarchique du pouvoir et un troisième mandat anticonstitutionnel, après 30 ans de lutte pour la démocratie, étaient en mesure de tout bouleverser. »
Il ajoute que lors de son séjour en France cette semaine, un grand professeur Gabonais est venu lui dire toute son amertume quand il voit que l’expertise et l’expérience de Wade ne sont pas mises à profit par le continent africain. Une expertise déjà mise au service du Nepad, de la Renaissance africaine et de la diplomatie. Idrissa Seck d’estimer que « la réhabilitation de Wade est une nécessité, car l’Afrique n’a pas un autre patriarche de sa trempe. »
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