A compter de ce lundi, une grève de 72 heures est prévue à l'hôpital Abass Ndao. Des dysfonctionnements, d'ores et déjà notés dans tous les services de ce centre hospitalier seront, ainsi accentués durant les trois prochains jours. Mais, le service minimum sera assuré. C'est en substance ce qui nous revient des syndicalistes- maison, ceux là affiliés au Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal (SAMES).
Lesquels, réclament le non paiement des salaires des mois de novembre et décembre 2013 à la majorité du personnel. Aussi, compte-t-il dénoncer véhément la situation précaire, socialement parlant dans lequel est plongé Abass Ndao depuis quelques temps. Le diagnostic, loin d'être complaisant, n'en demeure pas moins lourd. De nos investigations, nous sommes en mesure de révéler que ce mythique centre hospitalier Abass Ndao est… malade. En effet, c'est un soignant qui souffre grave.
L'hôpital manque de tout. Pour s'en édifier, il suffit de se rendre à sa pharmacie dépourvue du minimum, c'est à dire manquant de façon criarde de provisions, ce depuis un bon bout de temps. Qui plus est, l'hôpital, qui devait, dans les normes être sous la tutelle de la mairie de Dakar est laissée à lui-même. En clair, la mairie ayant pourrait-on dire, fui sa responsabilité, il ressort de nos investigations que dorénavant les émoluments entre autres charges doivent être supportés par les recettes de l'hôpital; alors que les revenus laissent à désirer.
Lesquels, réclament le non paiement des salaires des mois de novembre et décembre 2013 à la majorité du personnel. Aussi, compte-t-il dénoncer véhément la situation précaire, socialement parlant dans lequel est plongé Abass Ndao depuis quelques temps. Le diagnostic, loin d'être complaisant, n'en demeure pas moins lourd. De nos investigations, nous sommes en mesure de révéler que ce mythique centre hospitalier Abass Ndao est… malade. En effet, c'est un soignant qui souffre grave.
L'hôpital manque de tout. Pour s'en édifier, il suffit de se rendre à sa pharmacie dépourvue du minimum, c'est à dire manquant de façon criarde de provisions, ce depuis un bon bout de temps. Qui plus est, l'hôpital, qui devait, dans les normes être sous la tutelle de la mairie de Dakar est laissée à lui-même. En clair, la mairie ayant pourrait-on dire, fui sa responsabilité, il ressort de nos investigations que dorénavant les émoluments entre autres charges doivent être supportés par les recettes de l'hôpital; alors que les revenus laissent à désirer.
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