Invité à prendre part au dîner-débat sur le terrorisme organisé par les anciens de l’ASENA, le Général Babacar Gaye, ancien commandant de la MINUSCA en Centrafrique, a noté que le terrorisme est constitué par des actes qui se situent au niveau tactique et auxquels on veut répondre par des stratégies, « c’est là où se situe la difficulté », fera t-il savoir.
« Je suis d’accord que ce ne sont pas des solutions purement militaires qui vont venir à bout du terrorisme, ce sont des solutions globales qu’il faut privilégier puisque la guerre contre le terrorisme n’est plus le paradigme qui, aujourd’hui, a l’accord de tous les acteurs. »
Selon le Général Babacar Gaye toujours, en terme de moyens, ce que l’opinion publique attend de l’Etat c’est qu’il puisse prévenir, « mais si l’on voit ce qui s’est passé à Grand Bassam, l’opinion sait que ce sont des choses difficiles à prévenir à 100%. En revanche, ce que l’on attend c’est qu’il y ait des réactions qui soient préparées et appropriées qui donnent le sentiment que l’on est protégé. »
Et quelque part, si cela n’est pas fait, « c’est la crédibilité de l’Etat qui est remise en cause », fera-t-il savoir.
Le Général Gaye pour finir, dira « qu'aujourd’hui nous ne sommes plus au temps de grands bataillons, mais au temps où les réactions sont plus soft où il faut des spécialités plus fines et du renseignement tout comme des gens extrêmement bien entraînés et capables de réagir vite... »
« Je suis d’accord que ce ne sont pas des solutions purement militaires qui vont venir à bout du terrorisme, ce sont des solutions globales qu’il faut privilégier puisque la guerre contre le terrorisme n’est plus le paradigme qui, aujourd’hui, a l’accord de tous les acteurs. »
Selon le Général Babacar Gaye toujours, en terme de moyens, ce que l’opinion publique attend de l’Etat c’est qu’il puisse prévenir, « mais si l’on voit ce qui s’est passé à Grand Bassam, l’opinion sait que ce sont des choses difficiles à prévenir à 100%. En revanche, ce que l’on attend c’est qu’il y ait des réactions qui soient préparées et appropriées qui donnent le sentiment que l’on est protégé. »
Et quelque part, si cela n’est pas fait, « c’est la crédibilité de l’Etat qui est remise en cause », fera-t-il savoir.
Le Général Gaye pour finir, dira « qu'aujourd’hui nous ne sommes plus au temps de grands bataillons, mais au temps où les réactions sont plus soft où il faut des spécialités plus fines et du renseignement tout comme des gens extrêmement bien entraînés et capables de réagir vite... »
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