Pour la célébration de la journée du Travail, Abdou Faty, le Secrétaire Général du Sels/Authentique, a tenu à rappeler la nécessité de régler le dysfonctionnement constaté dans la prise en charge des retraites des professeurs.
Selon lui, « naturellement nous sommes solidaires au monde du travail, solidaires aux enseignants du Sénégal. Il y a des professeurs qui se retrouvent avec une pension misérable de 39 000 F CFA, à cause des dysfonctionnements constatés au niveau du système de rémunération. Ces camarades vivent le martyre. Ces camarades sont obligés de travailler, contrairement à ce que disait le chef de l'État, Macky Sall, estimant qu’on ne peut pas prolonger l’âge de la retraite à 65 ans. Les camarades sont obligés d’aller travailler encore parce que quelque part quelque chose ne fonctionne pas. »
Résultat, ce sont des pensions misérables qu’on verse à ces fonctionnaires sénégalais qui peinent à joindre les deux bouts quand ils sont à la retraite. Une situation très grave, selon M. Faty. Ainsi les centrales syndicales sont interpellées.
« Nous, en tant qu'enseignants, dans les jours qui viennent, nous allons faire des marches pour protester contre le dysfonctionnement de l’Ipres, à la caisse de sécurité sociale et les actes posés au nom de la politique dans ces instances-là. Il y a des jeunes sénégalais aptes et compétents pour prendre en charge l’avenir des travailleurs dans ce pays », a-t-il ajouté lors d’un entretien accordé à Dakaractu ce 1 Mai 2012.
Selon lui, « naturellement nous sommes solidaires au monde du travail, solidaires aux enseignants du Sénégal. Il y a des professeurs qui se retrouvent avec une pension misérable de 39 000 F CFA, à cause des dysfonctionnements constatés au niveau du système de rémunération. Ces camarades vivent le martyre. Ces camarades sont obligés de travailler, contrairement à ce que disait le chef de l'État, Macky Sall, estimant qu’on ne peut pas prolonger l’âge de la retraite à 65 ans. Les camarades sont obligés d’aller travailler encore parce que quelque part quelque chose ne fonctionne pas. »
Résultat, ce sont des pensions misérables qu’on verse à ces fonctionnaires sénégalais qui peinent à joindre les deux bouts quand ils sont à la retraite. Une situation très grave, selon M. Faty. Ainsi les centrales syndicales sont interpellées.
« Nous, en tant qu'enseignants, dans les jours qui viennent, nous allons faire des marches pour protester contre le dysfonctionnement de l’Ipres, à la caisse de sécurité sociale et les actes posés au nom de la politique dans ces instances-là. Il y a des jeunes sénégalais aptes et compétents pour prendre en charge l’avenir des travailleurs dans ce pays », a-t-il ajouté lors d’un entretien accordé à Dakaractu ce 1 Mai 2012.
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