Dans trois mois, le Sénégal va installer à son tour son centre national d’alerte précoce et de réponse aux défis et à la sécurité humaine. Un projet que les chefs d’État et de gouvernement africain avaient mis en place depuis 2014.
Ce centre qui va être appuyé par la CEDEAO, pour la collecte et la dissémination de l’information qui est liée aux défis et à la sécurité humaine, permettra de pouvoir faire des rapports d’alerte précoces mais aussi d'alerter spontanément l’État au plus haut niveau pour que des corrections puissent être amenées à certaines situations avant que ça ne dégénère.
Ainsi, dans ce processus de changement de paradigme, la direction de l’Alerte Précoce à la Commission de la CEDEAO, des partenaires financiers tels que le corps diplomatique, la société civile, les universités et d’autres acteurs y sont impliqués dans le projet depuis le début se sont réunis ce vendredi dans un hôtel de la place afin de communiquer sur la vocation, la mission, les objectifs de ce projet. Ce même procédé est aussi appliqué dans les autres pays qui ont précédé le Sénégal dans l’installation.
Il est attendu du ministre de l’intérieur, à qui le gouvernement du Sénégal a confié ce projet, d’instituer les ressources nécessaires pour que le délai soit respecté. Il s’agit de trouver un local pour abriter ce centre, de rédiger les documents juridiques qui vont servir à la création du centre, et le plus important, le recrutement du personnel qui va y servir...
Ce centre qui va être appuyé par la CEDEAO, pour la collecte et la dissémination de l’information qui est liée aux défis et à la sécurité humaine, permettra de pouvoir faire des rapports d’alerte précoces mais aussi d'alerter spontanément l’État au plus haut niveau pour que des corrections puissent être amenées à certaines situations avant que ça ne dégénère.
Ainsi, dans ce processus de changement de paradigme, la direction de l’Alerte Précoce à la Commission de la CEDEAO, des partenaires financiers tels que le corps diplomatique, la société civile, les universités et d’autres acteurs y sont impliqués dans le projet depuis le début se sont réunis ce vendredi dans un hôtel de la place afin de communiquer sur la vocation, la mission, les objectifs de ce projet. Ce même procédé est aussi appliqué dans les autres pays qui ont précédé le Sénégal dans l’installation.
Il est attendu du ministre de l’intérieur, à qui le gouvernement du Sénégal a confié ce projet, d’instituer les ressources nécessaires pour que le délai soit respecté. Il s’agit de trouver un local pour abriter ce centre, de rédiger les documents juridiques qui vont servir à la création du centre, et le plus important, le recrutement du personnel qui va y servir...
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