Face à la fréquence des coups d’État en Afrique sub-saharienne, le bureau Paix et Sécurité de la Fondation Friedrich Ebert a organisé un panel sur les coopérations militaires au Sahel. Les panélistes sont revenus largement sur cette situation qui est devenue un fait réel à l'image de ce qui s'est récemment produit en Guinée Conakry.
« Il faut que nos chefs d’Etat continuent de promouvoir la démocratie, qu'on ait des pouvoirs respectueux des mandats politiques et qu’on donne à l’armée les moyens de sa politique. Qu'elle sache c’est quoi son rôle ainsi que les pouvoirs politiques. Il faut éviter que les militaires viennent renverser le pouvoir et promettre la démocratie. Et pour y arriver, il faudrait que les chefs d’État respectent les mandats qui leur sont confiés » expliqué le Dr Ndèye Amy Ndiaye.
Revenant sur l’activité de l’État IIslamique ou de Bokko Haram en Afrique, la professeure d’université de préciser que « les menaces sont toujours là sur le terrain et les populations civiles continuent de vivre les conséquences de la crise. Il faudrait une autonomie stratégique. Les Africains veulent diriger et veulent prendre le lead de leur sécurité militaire. Il faut des moyens pour avoir l’autonomie stratégique, il faut des moyens, il faut avoir une armée professionnelle, il faut changer de paradigme et chercher les véritables causes pour arriver à bout de ces menaces. Il faut qu’aussi les corps entrainés aient une autonomie stratégique pour pouvoir arriver à bout du terrorisme », a aussi fait savoir l’une des panélistes de cette rencontre.
« Il faut que nos chefs d’Etat continuent de promouvoir la démocratie, qu'on ait des pouvoirs respectueux des mandats politiques et qu’on donne à l’armée les moyens de sa politique. Qu'elle sache c’est quoi son rôle ainsi que les pouvoirs politiques. Il faut éviter que les militaires viennent renverser le pouvoir et promettre la démocratie. Et pour y arriver, il faudrait que les chefs d’État respectent les mandats qui leur sont confiés » expliqué le Dr Ndèye Amy Ndiaye.
Revenant sur l’activité de l’État IIslamique ou de Bokko Haram en Afrique, la professeure d’université de préciser que « les menaces sont toujours là sur le terrain et les populations civiles continuent de vivre les conséquences de la crise. Il faudrait une autonomie stratégique. Les Africains veulent diriger et veulent prendre le lead de leur sécurité militaire. Il faut des moyens pour avoir l’autonomie stratégique, il faut des moyens, il faut avoir une armée professionnelle, il faut changer de paradigme et chercher les véritables causes pour arriver à bout de ces menaces. Il faut qu’aussi les corps entrainés aient une autonomie stratégique pour pouvoir arriver à bout du terrorisme », a aussi fait savoir l’une des panélistes de cette rencontre.
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