L’Autorité de régulation des télécommunications et des Postes (ARTP) était victime d’une extraction frauduleuse de données perpétrée par le groupe de Hackeur Karakurt Ransomware qui avait mis à exécution sa menace de 149 Go de ses données. D’autres sites et services de l’Etat ont également subi cette incursion des pirates dans la même période. Ce qui exige une mutualisation des forces selon le directeur général, Abdou Karim Sall qui dit être conscient des enjeux liés à la cybercriminalité
Dans le monde interconnecté d'aujourd'hui, les vies sont de plus en plus façonnées par la technologie. Les informations sont partagées à travers des transactions, et interagissons en ligne à un rythme sans précédent. Pratiquement tout se digitalise, la criminalité aussi. Ainsi une nouvelle économie de la cybercriminalité apparaît. « La cybercriminalité représentait un marché de 6.000 milliards de dollars américains en 2021. En 2025, il représentera environ 10.000 Milliards de dollars américains par an » indique le directeur général de l’Artp. En effet, informe Abdou Karim Sall, « la cybercriminalité devrait être jusqu'à 5 fois plus rentable que les crimes transnationaux mondiaux, combinés »
Au regard de ce fléau qu’il faut nécessairement endiguer, les enjeux sont alors cruciaux pour les réseaux de communications électroniques et les systèmes d’information. Le défi majeur est ainsi d’assurer la sécurité, la disponibilité et l’intégrité des données ainsi que la continuité de service. Il s’agit également de limiter les risques d’accident, d’erreur, de sabotage ou d’attaque et de réduire les impacts pouvant porter atteinte à la vie privée des citoyens, à leur réputation, leur crédibilité et la continuité de services des organisations. D’où la pertinence de ces conventions signées ce jeudi d’une part, entre l’Artp et la commission de protection des données personnelles, et d’autre part entre l’autorité de régulation des télécommunications et des postes et l’économe région de la cybercriminalité.
Dans le monde interconnecté d'aujourd'hui, les vies sont de plus en plus façonnées par la technologie. Les informations sont partagées à travers des transactions, et interagissons en ligne à un rythme sans précédent. Pratiquement tout se digitalise, la criminalité aussi. Ainsi une nouvelle économie de la cybercriminalité apparaît. « La cybercriminalité représentait un marché de 6.000 milliards de dollars américains en 2021. En 2025, il représentera environ 10.000 Milliards de dollars américains par an » indique le directeur général de l’Artp. En effet, informe Abdou Karim Sall, « la cybercriminalité devrait être jusqu'à 5 fois plus rentable que les crimes transnationaux mondiaux, combinés »
Au regard de ce fléau qu’il faut nécessairement endiguer, les enjeux sont alors cruciaux pour les réseaux de communications électroniques et les systèmes d’information. Le défi majeur est ainsi d’assurer la sécurité, la disponibilité et l’intégrité des données ainsi que la continuité de service. Il s’agit également de limiter les risques d’accident, d’erreur, de sabotage ou d’attaque et de réduire les impacts pouvant porter atteinte à la vie privée des citoyens, à leur réputation, leur crédibilité et la continuité de services des organisations. D’où la pertinence de ces conventions signées ce jeudi d’une part, entre l’Artp et la commission de protection des données personnelles, et d’autre part entre l’autorité de régulation des télécommunications et des postes et l’économe région de la cybercriminalité.
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