Prenant la parole devant le ministre de la Justice venu défendre la loi de dissolution du HCCT et du CESE, la députée de Benno Bokk Yaakaar donne les raisons de son choix. Adji Mbergane Kanouté donne trois arguments.
« Le HCCT émane de la volonté populaire. J’interpelle les signataires de la charte de bonne gouvernance. La seconde c’est par rapport aux engagements. J’interpelle le président pour qu'il intégre les onze autres engagements. La troisième raison, la suppression n’est pas une volonté populaire », argue la vice-présidente du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar.
« Le HCCT émane de la volonté populaire. J’interpelle les signataires de la charte de bonne gouvernance. La seconde c’est par rapport aux engagements. J’interpelle le président pour qu'il intégre les onze autres engagements. La troisième raison, la suppression n’est pas une volonté populaire », argue la vice-présidente du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakaar.
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