Mardi 08 janvier, le Conseil constitutionnel se penchera sur les dossiers des trois candidats qui ont été admis à ce que la presse assimile aux épreuves du second groupe des parrainages.
Malick Gakou, Idrissa Seck et Madické Niang seront édifiés et sauront s'ils participeront à la présidentielle dont le premier tour est prévu le 24 février de cette année. Une épreuve qui n'ébranle cependant pas les concernés.
Le concernant, l'ancien président du Conseil départemental de Dakar n'en fait pas tout un péril. Du haut de son riche parcours politique, le président du Grand Parti, El Hadji Malick Gakou croit dur comme fer que sa participation à la course présidentielle ne peut être sabordée par les quelques 8000 parrains qu'il devait compléter pour régulariser son dossier de candidature.
Sorti des locaux du Conseil constitutionnel le vendredi 04 janvier après le dépôt du stock de remplacement, il affichait la confiance et l'assurance. Une confiance que le candidat de Suxali/Senegaal doit au travail de terrain effectué par lui et ses équipes avant la collecte de parrainages, plaident ses partisans.
Contrairement à nombre d'hommes politiques qui n'ont pas bougé de leurs cocons douillets, El Hadj Malick Gakou a choisi d'affronter la dure réalité du Sénégal des bas-fonds et est allé à la rencontre des démunis. “De très près, il voit les difficultés auxquelles les populations des coins les plus reculés du pays sont confrontés. Et s'est engagé à les sortir de la précarité qu'elles côtoient au quotidien”, vend-on du côté du Grand Parti.
Pour son entourage, ce serait un “gâchis que de voir cet homme avec un tel dévouement assumé pour la cause nationale être recalé pour défaut de 8000 parrains”. Quand il a voulu déposer 40.000 nouveaux parrains, le conseil en a pris que 8888.
Sa participation à la présidentielle qui n'est toutefois pas une fixation pour El Hadj Malick Gakou, ne serait, selon ses proches, que suite logique à son parcours mais aussi aux sacrifices qu'il aura consentis pour le bien-être de ses concitoyens.
Ils citent sa démission du gouvernement. À les croire, il a rendu le tablier pour épouser l'intérêt des consommateurs. À sa place, un autre aurait choisi de rester dans les lambris dorés du pouvoir. Mais le Docteur en économie a préféré se ranger du bon coté de l'histoire, se réjouissent-ils.
Il peut aussi compter sur son engagement des premières heures des dépôts de parrainages au Conseil constitutionnel. Malick Gakou a troqué son costume de leader pour mettre la tenue du “combattant”. Hélas, il n'a pas été suivi dans cette démarche et les conséquences ont été néfastes pour beaucoup de candidats qui se seraient mis à l'abri d'une invalidation s'ils l'avaient soutenu à temps. Lui se dit sûr de passer ce cap étant entendu qu'avec Karim Wade et Macky Sall, ils sont les seuls candidats à réunir plus de 2000 parrainages dans 11 régions alors que la loi n'en exigeait que 7. Issa Sall, Khalifa Sall et Ousmane Sonko sont passés au premier tour. Pourtant, leur score dans les régions (7 pour PUR, 8 pour Khalifa, 9 pour Sonko,) est en deçà de celui de Gakou...
Idrissa a eu 6 régions et Me Madické Niang 8.
Malick Gakou, Idrissa Seck et Madické Niang seront édifiés et sauront s'ils participeront à la présidentielle dont le premier tour est prévu le 24 février de cette année. Une épreuve qui n'ébranle cependant pas les concernés.
Le concernant, l'ancien président du Conseil départemental de Dakar n'en fait pas tout un péril. Du haut de son riche parcours politique, le président du Grand Parti, El Hadji Malick Gakou croit dur comme fer que sa participation à la course présidentielle ne peut être sabordée par les quelques 8000 parrains qu'il devait compléter pour régulariser son dossier de candidature.
Sorti des locaux du Conseil constitutionnel le vendredi 04 janvier après le dépôt du stock de remplacement, il affichait la confiance et l'assurance. Une confiance que le candidat de Suxali/Senegaal doit au travail de terrain effectué par lui et ses équipes avant la collecte de parrainages, plaident ses partisans.
Contrairement à nombre d'hommes politiques qui n'ont pas bougé de leurs cocons douillets, El Hadj Malick Gakou a choisi d'affronter la dure réalité du Sénégal des bas-fonds et est allé à la rencontre des démunis. “De très près, il voit les difficultés auxquelles les populations des coins les plus reculés du pays sont confrontés. Et s'est engagé à les sortir de la précarité qu'elles côtoient au quotidien”, vend-on du côté du Grand Parti.
Pour son entourage, ce serait un “gâchis que de voir cet homme avec un tel dévouement assumé pour la cause nationale être recalé pour défaut de 8000 parrains”. Quand il a voulu déposer 40.000 nouveaux parrains, le conseil en a pris que 8888.
Sa participation à la présidentielle qui n'est toutefois pas une fixation pour El Hadj Malick Gakou, ne serait, selon ses proches, que suite logique à son parcours mais aussi aux sacrifices qu'il aura consentis pour le bien-être de ses concitoyens.
Ils citent sa démission du gouvernement. À les croire, il a rendu le tablier pour épouser l'intérêt des consommateurs. À sa place, un autre aurait choisi de rester dans les lambris dorés du pouvoir. Mais le Docteur en économie a préféré se ranger du bon coté de l'histoire, se réjouissent-ils.
Il peut aussi compter sur son engagement des premières heures des dépôts de parrainages au Conseil constitutionnel. Malick Gakou a troqué son costume de leader pour mettre la tenue du “combattant”. Hélas, il n'a pas été suivi dans cette démarche et les conséquences ont été néfastes pour beaucoup de candidats qui se seraient mis à l'abri d'une invalidation s'ils l'avaient soutenu à temps. Lui se dit sûr de passer ce cap étant entendu qu'avec Karim Wade et Macky Sall, ils sont les seuls candidats à réunir plus de 2000 parrainages dans 11 régions alors que la loi n'en exigeait que 7. Issa Sall, Khalifa Sall et Ousmane Sonko sont passés au premier tour. Pourtant, leur score dans les régions (7 pour PUR, 8 pour Khalifa, 9 pour Sonko,) est en deçà de celui de Gakou...
Idrissa a eu 6 régions et Me Madické Niang 8.
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