Le dispositif de répression doit être à la hauteur des conséquences néfastes de la criminalité financière, a estimé le ministre en charge du Budget, Birima Mangara.
‘’Le dispositif de répression doit être à la hauteur des conséquences néfastes de la criminalité financière. C’est ce qui explique l’engagement et l’implication des autorités publiques en charge de la sécurité et de la justice’’, a notamment déclaré M. Mangara.
Il présidait jeudi à Somone (Mbour, ouest), la cérémonie officielle de la 29ième réunion plénière de la commission technique du groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
‘’La lutte contre les activités criminelles nécessite la mobilisation d’importants moyens dont les Etats ne disposent pas, de manière générale, dans leur intégralité’’, a-t-il souligné.
Mangara a relevé que la présente rencontre se tient dans un contexte régional marqué par la récurrence des crises et la résurgence des menaces terroristes susceptibles de remettre en cause la stabilité des Etats membres de notre communauté.
Le ministre a rappelé que le Sénégal a très tôt réaffirmé son engagement dans le combat contre la criminalité financière et, plus particulièrement, contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Ce combat est engagé de manière concertée entre les Etats membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
M. Mangara a insisté sur l’importance de la mission du GIABA et des cellules de renseignement financier (CRF) dans la ‘’lutte inlassable’’ qu’ils mènent contre les activités financières criminelles.
‘’En 2017, le Sénégal a fait l’objet d’une évaluation mutuelle au titre du second titre, à l’effet d’examiner le niveau de conformité et d’efficacité de son dispositif national de lutte au regard des 40 recommandations du groupe d’action financière (GAFI)’’, a-t-il relevé.
Cette évaluation par les pairs qui a été effectuée 10 ans après celle du premier cycle, a été précédée par l’évaluation nationale des risques qui a permis l’identification des risques sectoriels et globaux ainsi que la formulation des mesures de prévention et d’atténuation appropriée.
‘’Le dispositif de répression doit être à la hauteur des conséquences néfastes de la criminalité financière. C’est ce qui explique l’engagement et l’implication des autorités publiques en charge de la sécurité et de la justice’’, a notamment déclaré M. Mangara.
Il présidait jeudi à Somone (Mbour, ouest), la cérémonie officielle de la 29ième réunion plénière de la commission technique du groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA).
‘’La lutte contre les activités criminelles nécessite la mobilisation d’importants moyens dont les Etats ne disposent pas, de manière générale, dans leur intégralité’’, a-t-il souligné.
Mangara a relevé que la présente rencontre se tient dans un contexte régional marqué par la récurrence des crises et la résurgence des menaces terroristes susceptibles de remettre en cause la stabilité des Etats membres de notre communauté.
Le ministre a rappelé que le Sénégal a très tôt réaffirmé son engagement dans le combat contre la criminalité financière et, plus particulièrement, contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Ce combat est engagé de manière concertée entre les Etats membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
M. Mangara a insisté sur l’importance de la mission du GIABA et des cellules de renseignement financier (CRF) dans la ‘’lutte inlassable’’ qu’ils mènent contre les activités financières criminelles.
‘’En 2017, le Sénégal a fait l’objet d’une évaluation mutuelle au titre du second titre, à l’effet d’examiner le niveau de conformité et d’efficacité de son dispositif national de lutte au regard des 40 recommandations du groupe d’action financière (GAFI)’’, a-t-il relevé.
Cette évaluation par les pairs qui a été effectuée 10 ans après celle du premier cycle, a été précédée par l’évaluation nationale des risques qui a permis l’identification des risques sectoriels et globaux ainsi que la formulation des mesures de prévention et d’atténuation appropriée.
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