La sentence est tombée au tribunal de la cour d’assises de Paris. Deux officiers pilotes ivoiriens, et un mercenaire biélorusse, introuvables depuis plusieurs années, ont été jugés en leur absence. Ils sont accusés d'avoir perpétré en 2004 le bombardement qui avait coûté la vie à neuf soldats français à Bouaké, en Côte d'Ivoire.
Trois ministres français se sont présentés à la barre pour répondre aux questions des juges sur leur niveau d’implication de ce bombardement. Mais selon les médias français qui ont suivi l’audience, ils se sont livrés dans le clair-obscur sans donner des réponses claires.
Les trois accusés, l’ex-mercenaire biélorusse, Yury Sushkin, et les deux officiers ivoiriens, Patrice Ouei et Ange Magloire Ganduillet Attualy, sont introuvables depuis plusieurs années.
Pour rappel, le 6 novembre 2004, deux chasseurs déployés par l'aviation du président ivoirien Laurent Gbagbo avaient bombardé par surprise un camp de la force de paix française tuant 9 soldats français et un civil américain. La France qui s’était vu attaqué par la Côte d’ivoire de Laurent Gbagbo, avait détruit le jour même l'ensemble de l'aviation militaire ivoirienne et déclenché une crise diplomatico-militaire contre Abidjan et s’en était suivie une vive contestation contre la France qui avait vu ses ressortissants menacés...
Trois ministres français se sont présentés à la barre pour répondre aux questions des juges sur leur niveau d’implication de ce bombardement. Mais selon les médias français qui ont suivi l’audience, ils se sont livrés dans le clair-obscur sans donner des réponses claires.
Les trois accusés, l’ex-mercenaire biélorusse, Yury Sushkin, et les deux officiers ivoiriens, Patrice Ouei et Ange Magloire Ganduillet Attualy, sont introuvables depuis plusieurs années.
Pour rappel, le 6 novembre 2004, deux chasseurs déployés par l'aviation du président ivoirien Laurent Gbagbo avaient bombardé par surprise un camp de la force de paix française tuant 9 soldats français et un civil américain. La France qui s’était vu attaqué par la Côte d’ivoire de Laurent Gbagbo, avait détruit le jour même l'ensemble de l'aviation militaire ivoirienne et déclenché une crise diplomatico-militaire contre Abidjan et s’en était suivie une vive contestation contre la France qui avait vu ses ressortissants menacés...
Autres articles
-
Mouvement d’humeur à AIBD : Les agents de TSA ne mettent pas la pédale douce
-
Renversement bus à Koungheul : Le bilan s'alourdit à 14 morts, le ministre des transports en route pour s'enquérir de la situation
-
Abidjan / 60ème session ministérielle de la CONFEMEN : “cette jeunesse à éduquer et à former est au cœur du nouveau Projet politique” (M. M. Guirassy, MEN)
-
Rapport 2022 : L’OFNAC recommande d’ériger la corruption en crime international
-
TOUBA- Un Hcct , coordonnateur de Rewmi dans la cité , quitte Idrissa Seck - Mafary Ndiaye évoque la convenance personnelle